Les attaques à répétition sur les troupeaux dans les zones ou l’ours et le loup ont fait leur retour sont de plus en plus difficiles à gérer pour les éleveurs et les bergers qui doivent se montrer toujours plus vigilants de jour comme de nuit et investir dans du matériel toujours plus conséquent.
En Europe, il est assez difficile de démontrer qu’une attaque a eu lieu sur un troupeau, qu’il s’agisse d’un ours ou d’un loup. Les indemnisations nécessitent des preuves et devant les difficultés administratives, les éleveurs s’équipent.
A lire aussi : [Vidéo] Un chevreuil blesse un randonneur à la jambe après une violente charge
Au delà des clôtures et des chiens de défense, ils disposent aussi de pièges photographiques afin de capturer des images de prédateurs en cas d’attaques.
Sur ces images prises en Espagne par un éleveur, difficile pour le ministère de douter du fait qu’un ours soit bien à l’origine de l’attaque…