C’est un débat qui anime les foules depuis déjà plusieurs années. L’appellation de certains produits à base de protéines végétales mais vendues sous la dénomination de « steak végétal » ou de « saucisses végétales » devrait être interdite dans les semaines à venir sous l’impulsion du gouvernement.
Déjà en 2020, une loi visait à encadrer l’étiquetage des denrées alimentaires afin que les aliments d’origine végétale ne puisse pas utiliser les noms habituellement donnés aux aliments d’origine animale.
C’est avant tout dans un soucis de transparence sur l’origine des aliments vendus par les distributeurs que cette loi a été remise sur la table la semaine dernière par le ministère de l’Agriculture. Le but est d’éviter que des consommateurs soient trompés par les noms affichés sur les étiquettes et que les fabricants ne proposent, par exemple, des steaks pouvant contenir une quantité de protéines végétales supérieure aux protéines d’origine animale.
Le nouveau décret à été soumis le 23 août dernier à la Commission européenne et le projet de loi pourra être mis en place trois mois après cette notification.
Dès les prochains jours, les acteurs du marché seront informés de la mise en place du nouveau décret par l’intermédiaire du Journal Officiel.
Forcément, la mesure fait bondir du côté des animalistes et des anti-spécistes qui dénoncent une véritable manipulation du « ministère de la viande ».
Manipulation exemplaire du ministère de la viande.
Est-ce que les gens confondent l’huile de moteur, l’huile d’olive et l’huile de jojoba? J’crois pas.
Pas plus qu’ils confondent les steak végétaux et ceux de boeuf.Ce ministère est une honte internationale. https://t.co/gUBTzJNSl2
— Brigitte Gothière (@BGothiere) September 4, 2023
4 réflexions sur « Le gouvernement remet l’interdiction de l’appellation « steak végétal » sur la table »
S’est bien que l’on fasse enfin quelque chose car sa ressemble à de la publicité mensongère car steak veut dire viande griller même si sa déplaît au entier viande
La preuve la chute de leurs actions en bourses.
Sa reste de la nourriture synthétique de la merde quoi
c est ca de la merde
mais qui rapporte a quelques industriels
au diable cette mal-bouffe de merde