A travers une étude qui était restée jusqu’ici relativement peu citée dans les médias Français, on apprend que les rats de Lyon sont loin d’être en bonne santé. En effet, 26% d’entre eux étaient porteurs de la leptospirose.
Près d’un rat sur quatre porteur de la leptospirose.
Voici une étude qui devrait faire passer de bien mauvaises nuits à Grégory Doucet, maire écologiste de la ville de Lyon à l’heure ou certains élus de la municipalité veulent favoriser la cohabitation avec les « animaux liminaires ».
C’est une revue américaine spécialisée dans les études scientifiques qui a publié le mois dernier les résultats de son travail et le moins que l’on puisse dire c’est que les chiffres sont alarmants.
La recherche a été menée conjointement par l’Institut Pasteur, l’école vétérinaire VetAgro Sup de Lyon ainsi que l’Agence Nationale de la Recherche dans le parc urbain de la Tête d’Or ainsi qu’au Parc de Lacroix-Laval de la Métropole de Lyon où les rongeurs sont suffisamment présents pour que les scientifiques trouvent de parfaits candidats à tester.
L’objectif de l’étude était avant tout d’évaluer les risques pour la santé des habitants de la zone urbaine de Lyon tout en suivant l’évolution de la leptospirose au sein de la faune sauvage.
Des pièges ont donc été positionnés pour capturer les rongeurs et lors des tests visant à dépister la leptospirose, près de 26% d’entre eux ont été testés positifs.
La leptospirose, une maladie potentiellement mortelle.
La leptospirose est une maladie suivie de près par les scientifiques qui est causée par différentes souches de bactérie de la même famille. Ces bactéries survivent assez facilement dans la nature et les rongeurs sont un facteur important de leur diffusion.
Elle reste mortelle dans 5 à 20% des cas et si en milieu rural, les habitants sont sensibilisés aux risques liés à la propagation de cette maladie, c’est souvent bien moins le cas en milieu urbain.
Son incubation est relativement rapide et il est donc primordial de pouvoir poser assez vite le bon diagnostique afin d’éviter une issue fatale pour la personne infectée par la leptospirose.
La prolifération des rats dans les grandes villes de France est un terreau fertile pour les scientifiques qui traquent les changements et les évolutions mais les résultats de cette étude auront forcément de quoi inquiéter les riverains comme les habitués de ces parcs.
7 réflexions sur « Une étude scientifique révèle que 26% des rats des parcs de Lyon sont porteurs de la leptospirose »
Déjà les rats ne sont pas le problèmes loin de là! On peut les exterminés en partie car 3 mois plus il y en aura autant! Ce n’est pas la solution du problème car à par dépenser de l’argent des impots en produit dangereux et remplir les poches de quelle que sociétés cela ne fera rien! Le problème c’est le gaspillage alimentaire en France chacun jette 155kgs de nourriture par an de quoi nourrir des millions de rats! Commençons par reduire nos déchets cela fera des économies (moins de dépenses), améliorat le bilan carbone du au ramassage et l’élimination de ces déchets, du transport, conservation et production de cette nourriture , De plus oui il y a cette maladie 600 cas humain par, se soigne bien avec des antibiotiques, en tout 36 morts par an (plus de risque de mourir d’un cancer!), mais la contamination des personnes n’est du aux rats, mais aux animaux d’élevage, bovins, chevaux, ovins sont des porteurs sains et contaminent leur environnement les premiers toucher sont les métiers liés l’élevage alors on fait quoi on éradique tout les animaux d’élevage? Cet article ressemble plus à une attaque contre des élus écologistes! Cela me rappel des élus d’un grande ville de la cote d’azur qui aspergeaient de désinfectant les rue et trotoirs pour éliminer le virus du Covid que d’argent dépensé pour rien ou si pour faire le buzz politique contre le pouvoir! Tiens puisque souvent ici on défend les éleveur de moutons contre les loups savait vous que la majorité des torrent de nos montagne sont contaminés par l’urine des moutons qui sont des porteurs sains de la leptospirose? Ah ooiu cela ne se voit pas comme les rats!
si en les exterminant en partie, 3 mois après il y en a autant, combien y en a t’il si on les extermine pas??????
Il n’y a pas qu’à Lyon, Paris dont on étouffe les résultats d’analyse est bien placé pour répandre ces maladie. La maire de Paris entretient son parc de SUR MULOTS (MDR) avec ses verts foncés dogmatiques du conseil municipal.
Si on ne les extermine pas il n’y en aura pas plus leur nombre varie selon la disponibilité de la nourriture ! Par exemple arrive les jeux olympiques, plus de monde, de la vente a emporter pour les repas, bien évidemment une partie va tomber au sol et personne ne va la ramasser, cela donnera plus a manger aux rats qui seront plus nombreux ! Après les jeux moins d’opportunité de nourriture le nombre baissera ! Tuer les rats sans traîter la cause de leur présence c’est comme prendre un Doliprane pour traîter un cancer, moins mal! En premier gérer les déchets, des poubelles qui ferment, un ramassage régulier, chasse et verbalisation de ceux qui déposent les déchets hors des poubelles ou des heures prévus pour le ramassage ! Un peu de savoir vivre en société ! Après il ne faut rêver la maladie due a une bactérie sera toujours présente, donc la aussi chacun doit être un responsable, lavage des mains…. La c’est pas gagné !
En espérant que les premiers contaminés seront les défenseurs du surmulot.
Voyons comment les escrolos de lyon réagissent. J’espère simplement que touts les bobos qui élise des maires de ce type réfléchissent la prochaine fois.
La solution n’est pas de les éradiquer, mais de supprimer ce qui les attirent et permet de se nourrir, les déchets que nous faisons, la population de rats varie selon la nourriture disponible, pas de nourriture pas de rats, poubelles qui ferment, pas de dépôt sauvage, ramassages réguliers des poubelles, C’est a chacun de nous de faire un petit geste! sinon c’est perdu!