C’est Moustique, un Springer Anglais qui est au centre de la discorde entre un chasseur et le propriétaire de terres voisines qui estime que ce dernier avait été volontairement envoyé sur son terrain dans le nord de la Mayenne.
Le désaccord est tel que le propriétaire du terrain voisin a décidé de porter l’affaire en justice et c’est ainsi que l’objet de la mésentente, à savoir Moustique, se retrouve l’objet des questions du tribunal de Laval ou l’affaire a été étudiée ce lundi.
Dans les faits, un chasseur et son camarade ont passé la journée à chasser sur leurs terres et ont respecté les limites sur lesquelles ils avaient le droit de chasse. Moustique de son côté, n’a pas tenu compte de ces limites et a tenté de faire un tour sur les terres voisines en fin de journée, avant d’être rappelé par son propriétaire.
L’homme à qui appartient les terres voisines ne l’entend pas de cette oreille et estime que la présence de Moustique sur son terrain constitue un acte de chasse illégal. Un témoin présent sur place affirme que le maître du chien a sonné de la trompe plusieurs minutes après que son chien ne se soit introduit dans les terres interdites.
L’avocat du défendeur relativise les faits dont on se demande pourquoi ils ont nécessité l’intervention du tribunal :
« Ce dossier n’aurait jamais dû arriver devant vous. On ne sait pas si mon client a essayé de rappeler son chien avant le coup de pibole. »
Cette affaire dont la gravité toute relative reste tout de même symptomatique d’une époque sera jugée le 23 mai prochain.
6 réflexions sur « Un Springer Anglais envoie son maître devant le tribunal »
Et quand un chien de non chasseur se promène en liberté, fait on un procès au propriétaire pour chasse sans permis??
Pauvre France
No comment !
Ya des cons partout
j’ espere que le chasseur et moustique seront debouter dans cet affaire courage car il y en n’a qui devienne debile
La bêtise n à plus de limite. Amis chasseurs apprenez à lire à vos chiens sinon on se retrouvera tous au tribunal un jour😆😆
Il ne faut pas que je rencontre ce propriétaire récalcitrant sur mes terres, sinon tribunal. Non il ne faut pas encombrer les tribunaux pour ces bêtises humaines, un coup de pied au cul est bien meilleur et clos le débat.