Les débats autour de la présence des ours dans le Trentin en Italie vont bon train et le débat s’est enflammé au point ou de nombreux autres pays européens se sont fortement remis en question sur le nombre d’ours présents à l’état sauvage dans leurs contrées.
Alors que l’ourse JJ4 a été capturée après avoir été accusée d’avoir tué un jeune joggeur italien de 26 ans, des associations de protection animale se mobilisent et affirment que JJ4 n’est pas coupable.
Une d’entre elles a fait réaliser des expertises sur les rapports d’enquêtes menées par les autorités italiennes et deux vétérinaires ont affirmé que les traces de morsures retrouvées sur le corps de la victime n’étaient pas celles de JJ4.
Selon eux « la distance entre les canines sont typiques d’un ours adulte mâle ».
Des traces de l’ADN de la femelle JJ4 ont été retrouvées à proximité du corps de Andrea Papi, le jeune joggeur éventré par un plantigrade, et cela avait conduit les enquêteurs sur la piste de cette ourse déjà connue pour avoir attaqué des êtres humains.
L’ourse JJ4 avait déjà évité l’abattage suite à la mobilisation de plusieurs associations.
L’association a l’origine des contre-expertises a également affirmé aux autorités que l’autopsie du corps démontrait des blessures infligées par un ours ayant la volonté « de dissuader la victime et de l’éloigner ».
Si les spéculations autour de la volonté de l’ours de tuer ou ne pas tuer le jeune joggeur ne seront certainement pas prises au sérieux par les autorités, la remarque des vétérinaires sur la distance entre les canines pourrait bien relancer complètement l’enquête.
3 réflexions sur « Les associations de défense animale affirment que l’ourse n’a pas tué le joggeur italien »
on connait la technique : comme dans l affaire de la jeune femme tué par son chien curtiss :…. » ce sont les chiens de la chasse a courre….
Tout simplement : il faut établir un ratio prédateur / densité de population et évidemment à un moment donné l’un doit laisser la place à l’autre pour des raisons sécuritaires . Les grands prédateurs bénéficient d’une protection alors dans l’état actuel de la législation c’est l’homme qui s’incline faute de trouver une solution politique .
Si certaines ONG trouvent le moyen d’encaisser suite à des procédures pour non respect des mesures de protection demain il nous faudra trouver le moyen d’attaquer la législation européenne pour créer une insécurité volontaire suite à une protection non proportionnelle des grands prédateurs
Les animalistes possèdent un avantage sur le plan juridique et ça doit nous servir d’expérience car dans ce domaine le seul monopole c’est le pognon
Je règle le problème….
On s’en passait bien avant Alors on s’en débarrasse maintenant des ours loups et le problème est réglé ..
Je ne vois pas l’interet de se faire chier avec ces conneries