Les chasseurs mènent leurs combats de façon à pouvoir continuer de pratiquer leur passion mais aussi de la transmettre aux générations futures, ce qui paraît être de plus en plus compliqué avec les années, tant les gouvernements successifs offrent nos modes de vies en pâture à des urbains qui se disent verts. La Sénatrice Christine Bonfanti-Dossat tape du poing sur la table et dénonce ces pratiques électoralistes.
Une Sénatrice sur qui on peut compter.
Il faut bien avouer que les chasseurs sont souvent les dindons de la farce en ce qui concerne la politique.
Ces derniers sont souvent dragués par différents partis qui veulent s’assurer leurs voix mais une fois que les élections sont passée, les chasseurs de France ont bien du mal à se faire entendre et à faire avancer leurs dossiers.
Les élus font tellement la sourde oreille qu’aux dernières élections Européennes, un nouveau parti politique des ruraux s’était constitué sous l’impulsion de Willy Schraen mais ce dernier n’a pas connu le succès espéré.
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Heureusement, il y a quelques élus en qui les chasseurs peuvent avoir confiance et qui se bougent pour leurs modes de vie.
C’est le cas de Christine Bonfanti-Dossat qui a récemment renouvelé son soutien aux chasseurs sur plusieurs dossiers.
Elle a notamment exprimé aux chasses traditionnelles de la chasse de l’alouette.
Des mots forts comme on aimerait en entendre plus souvent.
La Sénatrice a en effet eu des mots forts pour renouveler son soutien au monde cynégétique qu’elle défend au delà des simples pratiques mais pour les traditions et la culture dont les chasseurs sont garants, en plus de rendre service à la collectivité en régulant des espèces comme le sanglier.
« Au-delà du loisir et de l’art de vivre, nos chasseurs jouent un rôle primordial au service de l’intérêt général : en effet, ils assurent des missions de régulation de la biodiversité tout en contribuant à la maîtrise sanitaire de la faune sauvage. »
Plus précisément sur la chasse aux alouettes, la Sénatrice refuse de laisser partir ce morceau de notre culture et rappelle que les anti-chasse n’en resteront pas là si on laisse faire :
« Parce qu’après l’alouette, c’est la chasse traditionnelle de la palombe qui risque d’être attaquée, nous devons défendre des traditions anciennes qui font partie de notre patrimoine culturel, traditionnel et gastronomique. Il n’est pas acceptable de voir sans cesse la chasse attaquée par des idéologies hors-sol et des mesures mortifères. Une ruralité sans chasseurs, c’est une ruralité sans identité. Nous nous battrons pour défendre les intérêts des chasseurs. »