C’est une histoire qui avait commencé au début du mois de juin à la Celle-Saint-Cloud dans les Yvelines. Des renards avaient élu domicile en zone urbaine et les habitants excédés par les attaques sur leurs animaux domestiques avaient demandé à la mairie de faire le nécessaire.
Deux piégeurs avaient alors été sollicités pour prendre en charge la capture et la mise à mort des 7 renards mais c’était sans compter sur l’intervention des associations animalistes comme l’ASPAS et 30 millions d’amis qui ne voulaient pas que l’on dérange la famille du Goupil.
Pour ces associations, c’est aux riverains de s’adapter et de se confiner, eux et leurs animaux, afin que les renards puissent vivre tranquillement en se nourrissant des chats et des animaux de basse-cour alentours. Elles ont également utilisé les arguments habituels selon lesquels le renard n’est pas porteur de échinococcose alvéolaire (ce qui est faux) et qu’il agit comme un dératiseur naturel.
Les piégeurs ont donc capturé les renards comme demandé mais les recours en justice successifs déposés par associations animalistes ont interrompu l’intervention et ces dernières souhaitaient que les renards soient capturés vivants puis relâchés dans une zone moins urbanisée.
Le tribunal a retenu que les dommages causés par les renards n’étaient pas suffisamment importants et que la prédation sur les chats avait été considérée « peu fréquente », par conséquent rien de bien grave… Imaginez par contre le tollé général chez les animalistes si un seul chat s’était retrouvé dans une cage piège bien qu’il puisse être relâché aussi sain qu’avant sa capture.
Dans un second temps, le tribunal a reconnu que le renard était porteur de la galle sarcoptique et de l’echinococcose alvéolaire mais que les cas de ces maladies transmises à l’homme dans le département des Yvelines étaient peu fréquents. Une partie des renards ayant déjà été euthanasiés, les derniers recevront donc un traitement contre ces maladies avant d’être relâchés à la campagne.
Une décision totalement incompréhensible au regard de la législation globale en France même si dans les Yvelines, le renard roux a été sorti de la liste des espèces ESOD le 7 juillet dernier par le Conseil d’État.
7 réflexions sur « La justice se range du côté des associations animalistes et fait relâcher des renards sur le territoire Français »
A Gilles, vous préférez les tortues d’Hermann cramées dans une réserve laissée à l’abandon ou les tortues d’Hermann vivantes dans une réserve entretenue?
Vous préférez les renards ou la bromadiolone ?
Je préfère que tu ailles poster ailleurs.
Bravo, les habitants ayant subi ses dommages vont désormais pouvoir démonter l’ASPAS sur les réseaux sociaux et réclamer une juste indemnisation pour leur perte de volaille ou de chats domestiques, pas sûr que l’ASPAS en sorte victorieuse à la fin
Même les juges sont anti chasses !
Après leurs ordures ménagères , les citadins veulent se debarrasser de leur encombrante ménagerie à la campagne !
Il fallait oser!
Ils vous faut comprendre riverains que d après les écolos vos chats et vos volailles non aucunes importances. Un de ces jours ils vous interdiront d avoir de la volaille car c est pour manger les œufs et les poulets et c est en contradiction avec eux. Il vaut mieux que les renards les bouffent. Pauvre France.