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Hameau détruit par la crue en Isère : la protection d’un trèfle a bloqué les travaux sur les berges

Trèfles des rochets

En Isère, les habitants du hameau de la Bérarde ont pu retourner sur les lieux ou se trouvaient leurs maisons éventrées, des tonnes de pierres, de gravats et de boue ont emporté les voitures. Les riverains ne cachent pas leur émotion, d’autant plus que des travaux d’aménagement auraient pu être menés pour limiter la casse mais la découverte d’une plante protégée n’a pas permis de débuter le chantier.

Woodland

L’amertume des habitants face à l’ampleur des dégâts.

On ne peut qu’imaginer la douleur et la frustration des habitants du hameau de la Bérarde en Isère qui ont découvert les dégâts sur les lieux de la crue. Lors de la catastrophe qui s’est déroulée le 21 juin dernier, près de 100 personnes ont été évacuées par hélicoptère.

Aujourd’hui, il ne reste pas grand chose de l’endroit ou certaines familles ont vécu des moments inoubliables sur plusieurs générations. Ce haut lieu de l’alpinisme a changé de visage durant la crue et risque bien de ne jamais retrouver sa quiétude d’autrefois.


Les habitants du hameau ont donc pu se rendre sur place pour évaluer l’ampleur de la tâche pour remettre en état les bâtisses et les chalets. Pour certaines, la réparation est impossible, tant les eaux ont totalement détruit les parcelles comme les bâtiments.

Des travaux reportés pour le bien du trèfle des rochers.

Durant la phase d’étude préalable aux travaux, des trèfles des rochers ont été aperçus sur les lieux ou le chantier allait être mené. Un parking ou les matériaux devraient être entreposés était visiblement un lieu ou ce trèfle protégé se sentait bien, ce qui a reporté la mise en place des travaux.

Les habitants de la Bérarde demandaient pourtant depuis plusieurs années que des travaux de consolidation des berges des torrents soient menés pour s’assurer que les eaux puissent s’écouler correctement en cas de fortes intempéries.

La fonte des glaciers et les intempéries n’attendent malheureusement pas que les études humaines soient terminées pour se déclarer et si les résultats de l’étude devait se terminer en 2026, la crue n’aura pas attendu cette date pour frapper le hameau de plein fouet.


Le maire essaie tant bien que mal de calmer la colère de ses administrés mais on peut comprendre qu’à leur place, la frustration serait forcément de mise. La réalisation des travaux n’aurait peut-être pas empêché la catastrophe de survenir mais les aménagements auraient probablement limité les dégâts.

L’édile reste perplexe face à la situation comme il l’explique aux journalistes d’Europe 1 :

« Ce n’était pas quatre ou cinq plantes sur un parking ou un endroit où on pouvait stocker des matériaux qui allaient changer la face du monde. C’est une espèce protégée, on ne peut pas le nier, mais il y en a un peu partout sur le secteur. Aujourd’hui, le parking, bien évidemment, a disparu, les trèfles aussi. »

3 réflexions sur « Hameau détruit par la crue en Isère : la protection d’un trèfle a bloqué les travaux sur les berges »

  1. Voilà l’oeuvre des écologistes ! Leur bêtise a engendré un drame environnemental et humain. On se demande encore comment des gens peuvent soutenir des malades pareils. Ceux qui les ont portés au pouvoir, sont des boeufs et des moutons intoxiqués par la propagande verte qui a complètement annihilé leur esprit critique.
    Pauvre France. Avec ces Verts et leurs alliés Rouges du NFP on est mal barrés.
    Il y a encore un bulletin à mettre dans l’urne au second tour !

  2. On marche sur la tête comment on peut empêcher des travaux pour sauver une plante rare en sacrifiant un village j’espère que les personnes qui ont tout perdue vont déposer une plainte contre tout ses inconscients et leurs faire payer les dégâts il serait temps que l’on arrête ses personnes dangereuse totalement déconnecter

  3. Pour les habitants ce n’était pas des trèfles à 4 feuilles! Voilà où l’idiotie et l’écologie abusive conduit aujourd’hui. Qui va payer? en tous les cas, pas ceux qui sont venus défendre le trèfle contre les travaux. Je comprendrais les habitants si ils se révoltaient.

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