Une étude très sérieuse réalisée par l’université de Graz (2014), en Autriche, remet en cause les biens faits du végétalisme sur notre corps. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’une étude de la sorte tend à prouver que ce genre d’alimentation, souvent empreint d’écologie mal placée (preuve en est) n’est pas aussi saine que l’on voudrait nous le faire croire.
A la base de cette étude, les données recueillis par l’Austrian Health Interview Survey auprès de 1320 personnes. Ces 1320 sondés sont répartis en 4 groupes identiques de 330 personnes :
– Des végétariens
– Des mangeurs de viande avec beaucoup de fruits et légumes
– Des faibles consommateurs de viande
– Des Gros consommateurs de viande
L’ensemble des membres de ces 4 groupes (dont 75% sont des femmes), ont tous les mêmes critères d’âges, socio-économique, etc.
Les végétariens plus souvent malades
Les résultats de l’étude sont sans appel : les végétariens ont une moins bonne santé. Ils sont soumis d’avantages aux allergies (16.7% pour le groupe des mangeurs de viande contre 30.6% pour les végétariens). Le taux de risque de problèmes cardiaques est de 1.5% chez les végétariens, contre 0.6% chez les autres groupes, soit 150% de risques en plus. Idem pour les risques de cancer qui sont 166% plus élevés chez les végétariens (4.8% contre 1.8%). Les maladies chroniques (soit distant souvent appelées à disparaitre si l’on adopte un régime végétarien…) touchent aussi davantage les végétariens. Sur 18 étudiées, l’asthme, le diabète, l’ostéoporose ; 78% se retrouvent chez les végétariens
… et psychologiquement, atteints
Là où on aurait pu faire gagner du temps aux chercheurs, c’est sur le volet psychologique. A entendre certains « écolos » très haut perchés que l’on peut croiser dans la nature, il semble évident que les carottes et les petits poids n’ont pas toujours un bon rendu sur l’esprit !
L’étude prouve que les végétariens sont tout simplement 2 fois plus sujets à l’anxiété et à la dépression que les gros mangeurs de viande ! En outre, les maux psychosomatiques sont bien plus nombreux. Au final c’est une qualité de vie nettement moindre qui s’offre aux végétariens et ces derniers consultent d’avantages les médecins.
Bon, comme il faut bien trouver un bon côté à tout, reste que les végétariens font des économies sur le prix de la viande ! En attendant, à nous les bonnes perdrix et autres civets de sangliers !