Le mois dernier, la préfecture de l’Indre annonçait vouloir mettre en place les battues affinitaires dans le département. Ce nouveau moyen d’organiser une battue entre les agriculteurs et les chasseurs vise à être plus efficace sur le terrain, une solution que One Voice refuse de voir appliquer.
One Voice s’insurge contre cette volonté de « tuer un maximum de sangliers ».
En août dernier, le préfet de l’Indre a annoncé qu’il souhaitait mettre en place un nouveau système de « battues affinitaires ». Il s’agit d’un type de battue qui pourrait être organisé toute l’année sous le contrôle d’un lieutenant de louveterie, sur demande d’agriculteurs quand des dégâts de sangliers sont constatés.
L’objectif est de permettre aux chasseurs d’intervenir rapidement sur le terrain car la mise en place d’une battue administrative prend parfois pas mal de temps.
Forcément, l’organisation d’une battue dans ces conditions ne plaît pas du tout aux animalistes de One Voice qui attaque l’arrêté en justice.
Ce qui pose le plus de soucis aux animalistes c’est qu’ils ne seront plus prévenus en amont de l’organisation de ce type de battue qui doit se dérouler rapidement et donc, qu’ils ne pourront pas organiser d’actions pour aller à l’encontre de ces mêmes battues.
L’association espère dénoncer une méthode abusive qui vise à « tuer un maximum de sangliers de la manière la plus facile possible ».
Au risque de les décevoir, c’est effectivement l’objectif d’une telle mesure.
La justice a tranché.
Comme d’habitude, One voice reste campée sur ses positions et sert le même discours anti-chasse auprès des médias en affirmant que la surpopulation de sangliers a été causée par les chasseurs eux mêmes qui relâchent des sangliers dans la nature depuis l’après guerre.
Bien que cet argument ait déjà été débunké un nombre incalculable de fois, les anti-chasse continuent de distiller inlassablement leur laïus pour tenter de faire passer les chasseurs pour les méchants de l’histoire.
La requête de One Voice a été traitée par le tribunal administratif de Limoges qui a décidé de la rejeter.
L’association a déjà annoncé qu’elle allait se pourvoir en cassation pour faire annuler cet arrêté de la préfecture de l’Indre.
On peut les comprendre car, si jamais ce dispositif venait à se montrer efficace dans le temps, il y a fort à parier que bien d’autres départements vont adopter la mesure, ce qui va compliquer la tâche des anti-chasse dans leurs opérations de sabotage.
8 réflexions sur « One Voice s’attaque aux nouvelles « battues affinitaires » dans l’Indre »
On Voice comme d’autres associations anti chasse paient les frais d’avocats et de justice avec l’argent des contribuables ou avec l’argent de donateurs qu’ils ont bien enfarinés pour les rallier à leur cause.
Dissoudre ces associations de nuisibles permettrait d’économiser de l’argent et d’éponger un petit peu la dette de la France.
Pourquoi ce n’est pas one voice qui paie les dégâts sur les cultures ?
Il faut que l’état regarde à quoi sert l’argent des subventions versé par les contribuables et supprime celles si purement et simplement quand elle n’est utilisée correctement il ne faut plus qu’il sans serve pour payer les frais de justice
il faut que one voice paye les dégats de gibier la ou elle aura fait interdire une battue
Les Lts de Louveterie agissent sous l’ordre de l’état (préfet), ils sont un peu comme les gendarmes, ils ont une politique générale dictée en haut lieu, et ils appliquent au jour le jour ce qui leur semble utile et nécessaire, ils font un rapport de leurs activités. One Voice souhaite donc pouvoir agir sur le rôle des Lts de Louveterie, et pourquoi pas demain sur l’action des gendarmes, de la police, etc. Il faut les classer au plus vite comme mouvement voulant attenter à l’autorité de l’état et les juger pour cela.
one voice
quel dechet
a vomir
Et comme d habitude c est l argent des autres qu ils se servent pour les procès. Mais pour les animaux quant manque d eau à cause des chaleurs personnes sur le terrain comme nous nous le faisons.
Dans quel monde vivent -ils ???
One voice = chasseurs marchands de chasse.
Que tous ces gens financent les dégâts à l’agriculture, à la sylviculture, aux biens publics, à la SNCF, aux automobilistes, aux particuliers, bientôt aux victimes de la peste porcine.
Tous ces extrémistes de l’animalerie – associations et marchands de chasse vivent sur une autre planète.