Un nouveau cas de peste porcine africaine a été détecté sur un sanglier dans la commune d’Ovada, dans le Piémont, au nord-ouest de l’Italie, à moins de 250km de la frontière Française.
L’information a été diffusée par la presse italienne le 7 janvier dernier, après que l’Institut Zooprophylactique de l’Ombrie et des Marches (ISZUM) ait confirmé la présence du virus de la PPA sur la carcasse analysée.
C’est une très mauvaise nouvelle car la maladie se diffuse très vite dans les élevages porcins et au sein des compagnies de sangliers.
Depuis quelques années, l’épidémie de PPA s’étend plus largement en Europe et des zones blanches sont activées régulièrement dans les zones à risque pour éviter que l’épizootie ne gagne du terrain.
La peste porcine africaine n’est pas une maladie dangereuse pour l’homme mais c’est une véritable catastrophe économique pour les pays qui sont touchés par ce virus puisque sa présence peut réduire à néant les exportations de la viande comme des animaux.
Bien que les recherches se multiplient pour tenter de mettre en place un vaccin contre la peste porcine africaine, il semble que rien ne soit encore concrétisé pour le moment.