Ce lundi 13 mai, la carcasse d’une bernache a été découverte brûlée sur le parking d’un parc d’attraction situé à Fumay dans les Ardennes. L’origine de la mort de l’oiseau n’est pas encore connue.
Acte de cruauté ou comportement purement idiot?
C’est L’Ardennais qui a révélé cette information selon laquelle une oie bernache a été retrouvée sur le parking du parc d’attraction Terraltitude dans les Ardennes, non loin de la frontière avec la Belgique.
Cette découverte a choqué plusieurs automobilistes qui se sont rendus sur ce parking, à tel point que les journalistes sont allés observer la scène sur place.
Forcément, à l’heure ou le bien-être animal est un sujet bien plus important qu’il y a quelques années, des questions se posent.
Deux possibilités se sont donc imposées au témoins de la scène :
- Soit l’oiseau a été brulé alors qu’il était déjà mort et donc, cette action pourrait être alors qualifiée de purement idiote et franchement macabre,
- Soit l’oiseau a été brulé vif et auquel cas, cet acte est purement inqualifiable.
Ou est le respect de l’animal?
Certes la bernache est une espèce considérée comme invasive mais cela n’explique en rien une telle attitude. Comment peut-on penser que c’est une bonne idée que de mettre le feu à une oie sur le parking d’un parc d’attraction…
Dans son article, L’Ardennais revient sur cette découverte puis développe sur le fait que la bernache est tirée par les chasseurs qui régulent l’espèce. Mais quel peut bien être le rapport entre ces sujets?
Les animalistes essaient sans cesse de faire passer les chasseurs pour des tueurs sanguinaires et il semble que leur propagande trouve échos dans les médias qui n’hésitent pas à faire l’amalgame entre ce genre d’évènements et le monde cynégétique.
Les chasseurs défendent une chasse éthique, dans laquelle le respect de l’animal est au cœur de la pratique. Il est certain que tous les chasseurs condamneront fermement un tel comportement car même si l’être humain est au sommet de la chaîne alimentaire, tous les animaux méritent le plus profond respect, qu’ils soient vivants ou morts.