Les arrêtés se suivent… dans la suspension.
Après celui qui a été mis à la corbeille par le Tribunal administratif de l’Oise, et qui laissait la possibilité aux louvetiers, de réguler 250 renards sur chacun de leur secteur, d’ici le printemps prochain, un nouvel arrêté a été pris par la préfecture.
Aussitôt attaqué, lui aussi, par les associations anti-chasse, il ramenait la régulation des renards à 1 700, sur l’ensemble du département, soit un peu moins de 150 par secteur de louveterie.
Mais cela n’a pas suffi et ce second arrêté, publié le 13 septembre dernier, vient également d’être suspendu par la justice administrative d’Amiens. Bien que cette décision n’annule pas l’arrêté, elle interdit son exécution en attendant le jugement sur le fond.
10 réflexions sur « Renards de l’Oise : bis repetita ! »
Pratique barbare, bien sûr, vous ne connaissez pas la chasse !
Même si nous prélevons quelques gibiers, ce n’ait jamais par barbarie !
Ou alors tous les prédateurs sont barbares.
En parallèle, le chasseur crée des zones pour favoriser la biodiversite.
Comme vous l’avez constaté, les stations ont empiète sur l’espace de vie de certaines espèces, à tel point qu’elles sont en voix de disparition.
Je me réjouis quant à la prolifération du loup , car bientôt, vous allez demander aux chasseurs de venir les régaler pour pouvoir assouvir votre loisir sans risque.
Là, je vais bien rire!!!
Interdire, Interdire, vous n’avez que ce mot à la bouche. Parce que vous ne pratiquez pas, il faut Interdire, qu’elle étroitesse d’esprit, tout comme les dictateurs.
Moi je ne pratique pas le ski, donc je dis interdisons, je ne vais pas en vacance au bord de la mer ,interdisons, je ne pratique pas de sport mécanique, interdisons.
Avec ce raisonnement, demain, on interdit tout!
Le ski n’est pas une pratique barbare qui se pratique avec le sang des animaux , pourquoi l’interdire , encore que on pourrait trouver a y redire , le domaine skiable empiète sur la forêt et les canons a neige polluent etc etc ….
Très bonne idée. Interdisons la chasse.
Que les personnes qui sont pour cette solution se fassent connaître auprès de l’état en leur envoyant, pièce d’identité valide, une autorisation de prélèvement et un RIB.
Charge ensuite à ces personnes de payer les moyens de protection des cultures mises en place, de payer les dégâts , les frais d’estimation de dégâts et des 60 70% du budget de l’ONCFS.
Ils seront prélevés directement sur leur compte.
Charge ensuite au gouvernement qui choisira cette solution d’inclure les pertes de tva lié à la non vente des différents article de chasse et de rajouter les frais occasionnés par les personnes qui seront au chômage à cause de cela.
Pour ma part en contrepartie je de cette interdiction de chasse, je dénoncerai les conventions que j’ai signé pour permettre le passage de promeneurs sur mes terres sur les CR qui passent à travers mes bois.
Cdlt.
Il faut supprimer le poste de préfet, nous avons des présidents de département et de région, qui eux sont des élus du peuple, et il faut surtout interdite la chasse sous toute ses formes, point!
Encore 1 qui n à pas de poule de chat que les renards pourraient manger. En appartement pas de sanglier sur votre pelouse. Les chasseurs payent les dégât si plus de chasse vous payeraient à notre place car ce n ais pas vos écolos qui le feront malgré les subventions que vous touchez pour sois disant le bien être animal. Vive la chasse
Tu es sur le mauvais site retourne dans ta fange verdâtre et le confort de tes randonnées entre le frigo et le canapé.
il est interdit ,d’interdire (sous les paves la plage)
On relâche des ours des loups des lynx des phoques tout cela nous coûte alors qu avec les renards c est gratuit de plus ils détruisent les rats ,mulots et autres nuisibles alors gagnant gagnant
Je crois avoir entendu un potentiel candidat 2022 dire qu’il interdirait aux associations le droit d’entamer des actions collectives auprès des juridictions, notamment lorsqu’elles se substituent aux individus qui eux peuvent avoir subit un préjudice. En l’occurrence je partage le fait qu’il est anormal que des associations basées hors de l’Oise puissent mener ces recours.