Le président de fédération nationale des chasseurs a longuement pris la parole lundi matin sur LCI. Il s’est exprimé sur les chasses en enclos, la place de la chasse dans la société mais bien sur également sur le sujet de l’ours.
Si Willy Schraen est insisté sur le caractère exceptionnel de cet accident qui résulte d’une multitude de coïncidence, il a également insisté sur le fait que les Pyrénées ne peuvent accueillir indéfiniment une population d’ours en croissance.
Pour autant Willy Schraen ne rentre pas dans le cliché qu’aime nous affubler les opposants à la chasse qui pense que nous (les chasseurs) voulons voir disparaitre totalement l’ours, et il estime qu’il a encore sa place.
Comme a chaque fois il s’agit de pragmatisme et de logique. Des hommes et des femmes vivement sur le territoire de l’ours, ils y ont une activité rurale. Dés lors il s’agit de ne pas sanctuarisé les Pyrènes et l’Ariège au nom d’une idéologie parisienne à des années lumières des réalité de la nature mais d’essayer de cohabiter.
Vous pouvez retrouver ci-dessous l’intervention complète du président de la fédération national des chasseurs
2 réflexions sur « Willy Schren « il faut rester cohérent sur le nombre d’ours sinon il va avoir des drames » »
Quant on voit le pognon dépensé pour des conneries loups et ours au lieu de dépenser leurs pognon escuse notre pognon pour critiquer la chasse. Ils feraient mieux de s occuper de tous les sdf en France. Ils nous disent que les animaux sont égals à l homme mais ils ne font rien pour les humains donc pour eux les animaux sont au dessus des humains pourquoi ? Simplement les animaux rapportent de l argent sur les cagnottes en lignes mais les personnes en difficultées ne rapportent rien à leurs poches.
au regard des obligations que nous avons pour maintenir loups et ours en bonne conservation il serait inutile de militer pour sa disparition
toutefois ces affaires manquent de dialogues ont a l’impression que l’humain doit s’effacer et ça coute une fortune pour le maillon final de la chaine alimentaire : a part la promotion de ces associations animalistes et parti politiques anti chasse le gain pour la biodiversité est minime