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Vers une police de l’environnement et de la chasse qui s’appuie sur les Fédérations et leurs agents?

Voeux Willy Schraen 2024
Voeux Willy Schraen 2024

La police de l’environnement telle qu’on la connaît aujourd’hui à travers l’OFB laisse depuis quelques années des trous difficiles à combler. Nombreux sont les chasseurs qui déplorent des actions de l’OFB parfois sans conséquences alors que la pression est mise sur d’autres thèmes comme les contrôles de chasseurs ou d’agriculteurs. Dans son intervention de fin d’année, Willy Schraen est revenu sur la question.

Alvis audio spéciale chasse

Un manque cruel de personnel sur le terrain.

Les actions d’ampleur menées par l’Office Français de la biodiversité ces derniers temps en ce qui concerne les contrôles de chasseurs ont été bien accueillies par le monde de la chasse mais en dehors de cela, le monde rural peine à y trouver son compte.

Trop souvent, des remontées d’informations restent sans retour lorsqu’il s’agit de braconnage, de dépôt d’ordures sauvages ou d’autres méfaits perpétrés par des personnes qui n’ont pas la notion de la gravité des actes commis.


Pour lutter contre ces actes, Willy Schraen est revenu sur le constat réalisé par les ruraux et fait remarquer que de nombreux élus lui ont parlé de cette problématique.

A lire aussi : Willy Schraen propose que les agents de Fédérations puissent jouer un rôle de police de proximité au niveau rural

Il remet donc sur la table la nécessité pour l’État d’intégrer plus encore les chasseurs dans cette boucle de protection de la nature et des territoires.

« Il serait temps que l’État comprenne l’urgence de la situation ».

Lors de ses vœux adressés aux chasseurs et aux ruraux pour 2025, Willy Schraen a donc expliqué qu’il est devenu nécessaire pour l’État de s’appuyer sur les gens qui sont tous les jours sur le terrain, à savoir les agents de Fédérations et les gardes particuliers pour appuyer la police de la chasse et de l’environnement.


Bien que les gouvernement se succèdent à grande vitesse en France ces derniers temps, il rapporte qu’il a pu s’entretenir avec Bruno Retailleau, l’actuel Ministre de l’Intérieur, à ce sujet :

Le saviez-vous ?  Un accident de chasse termine au tribunal

« Responsables nous le sommes toujours quand nous affirmons que nos territoires ont besoin plus que jamais d’une police de proximité à la fois cynégétique et environnementale. Je rappelle régulièrement à l’État que nous avons des compétences en la matière. Il pourrait s’appuyer sur le réseau des Fédérations des chasseurs au travers des agents de développement qui sont assermentés. J’ai rencontré le ministre de l’Intérieur du gouvernement Barnier, Bruno Retailleau, qui s’est montré très à l’écoute. Des pistes s’ouvrent enfin, et il est temps ! Ce dossier fait partie des réformes urgentes à mener pour la ruralité française. De nombreux maires nous demandent chaque année de leur venir en aide, il serait temps que l’État comprenne l’urgence de la situation.« 

4 réflexions sur « Vers une police de l’environnement et de la chasse qui s’appuie sur les Fédérations et leurs agents? »

  1. Et zou maï on y revient !!
    On a déjà connu cela, du moins les chasseurs d’une certaine génération.
    Il y a quand même une très grande différence professionelle entre un inspecteur de l’environnement OFB et un agent fédéral de développement en matière de compétences de police d’une part et de problématique environnementale d’autre part.
    Plutôt que de promouvoir l’idée d’un appui de ces agents fédéraux à la police de l’environnement, que les présidents de fédérations départementales, ceux-ci unitairement derrière le président national, se donnent les moyens de contrecarrer l’hémoragie des personnels depuis la création de l’Office Français de la Biodiversité.
    Le constat est clair. Les missions des inspecteurs de l’OFB concernant la police spécifique à la chasse ont bien diminué. Ceci devrait interpeller tous les présidents fédéraux si cela n’est pas déjà fait.
    Tomber dans le panneau de « combler »
    ce manque par des agents fédéraux en soutien à l’OFB est une grossière erreur de la part des présidents.
    Des questions viennent à l’esprit des chasseurs regardant leurs responsables :
    – Ces agents fédéraux defendant la chasse dans son ensemble, n’ont-ils pas assez de missions propres aux FDC’s ?
    – Sous les coups foireux des politiques, l’actuelle haute hiérarchie de l’OFB serait-elle en train de découdre leur office issue des deux prestigieuses maisons qu’étaient l’ONEMA et l’ONCFS ?
    L’urgence est de mise …

  2. Tout cela c est bien beau mais qui va payer ? Pour une mission qui se veut être régalienne.
    C était avant se désengager financiérement du budget de l ONCFS au profit de la redevance nationale à 200 euros qu il fallait y penser ! !
    C est le boulot de la Gendarmerie.

  3. Vous écrivez : « Les actions d’ampleur menées par l’OFB en ce qui concerne les contrôles de chasseurs ont été bien accueillies par le monde de la chasse ». Ça c’est vous qui le dites, c’est une affirmation gratuite. Avez-vous fait un sondage d’opinion auprès des chasseurs? L’OFB est une police environnementale de répression qui s’attaque aux chasseurs et agriculteurs, toujours prête à sortir le carnet et à foutre des PV pour des broutilles. L’ONCFS (Office Français de la Chasse et de la Faune sauvage) comme son nom l’indique était utile et oeuvrait vraiment pour la chasse. Or, ça n’a échappé à personne : le mot « CHASSE » a disparu grâce aux anti-chasse. l’ONCFS est mort, avalé et remplacé par cette absurdité anti chasse nommée OFB. C’est le ROC (Rassemblement des Opposants à la Chasse) qui s’appelle maintenant « Humanité et Biodiversité  » pour tromper et séduire l’opinion qui est à l’origine de la création de l’OFB, cette usine à gaz anti chasse et anti agriculteurs.
    Si les chasseurs veulent travailler avec eux, ils doivent s’attendre à faire toujours plus de concessions. Alors bien accueillir les actions de l’OFB, méfiance et scepticisme ! Peut-on vraiment pactiser avec les ennemis ?
    Un jour prochain, attendons-nous à ce que le mot « chasse » disparaisse complètement du monde des loisirs et à ce que les Fédérations de chasseurs soient contraintes de prendre le nom de « Fédérations des écologistes départementaux ».
    Sauf… si nous refusons de baisser les bras et la culotte !

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