Passer son permis de chasse n’est pas une démarche anodine. Un journaliste l’a récemment appris à ses dépends car il a tenté l’expérience mais malheureusement, ce dernier a été recalé lors de l’examen.
Le permis de chasse n’est pas « donné ».
Contrairement à ce qu’essaient de faire croire une partie des écologistes anti-chasse, il n’est pas si simple que cela de passer son permis de chasse. Un journaliste a voulu tenter l’expérience et il avait semble-t-il trop confiance en lui, ce qui l’a mené à la faute durant l’examen et a dû essuyer un échec.
Il raconte d’ailleurs son épopée dans le journal Sud-Ouest dans lequel il revient sur la formation qu’il a pu passer avant de se présenter à l’examen. Il rappelle que la sécurité est fondamentalement au cœur du dispositif avec des questions éliminatoires dès le passage de la théorie.
Une fois la théorie réussie, ce journaliste qui connaissait bien le monde de la chasse pour avoir accompagné son grand-père dans sa jeunesse a été conduit vers le passage de l’épreuve pratique.
Cette épreuve fait souvent bien moins peur aux candidats du permis de chasser que la théorie et pourtant, elle est tout aussi importante. Les examinateurs ne laissent rien passer en ce qui concerne la sécurité ni l’identification avant le tir.
Malheureusement pour le candidat au permis de chasser qui travaille pour le quotidien régional, son passage à cette étape s’est soldé par un échec mais il aura eu au moins l’honnêteté d’en faire part dans un retour d’expérience écrit auprès du journal.
Le journalisme de terrain n’est pas mort.
Rares sont aujourd’hui les journalistes prêts à mouiller la chemise lorsqu’ils traitent d’un sujet précis. Bien souvent, la rapidité avec laquelle l’information est consommée aujourd’hui pousse plutôt les rédacteurs à traiter le sujet à l’aide d’études et de statistiques plutôt que de vivre une expérience de l’intérieur.
A lire aussi : [Vidéo] Trois fois plus de jeunes s’inscrivent au permis de chasser qu’il y a 5 ans
Si le journalisme de terrain n’est pas mort, force est de constater que ce genre d’articles se retrouve souvent dans les mêmes médias. Généralement, en dehors des émissions de télévision spécialisées ou de certains médias digitaux, c’est la presse régionale qui s’en sort le mieux sur ces sujets.
Il s’avère que les choses sont facilitées pour ces journalistes car ils sont déjà régulièrement au contact des gens et des activités locales.
Ici, il s’agit de passer son permis de chasse mais de nombreux autres secteurs d’activité mériteraient une telle immersion permettant aux journalistes de fournir un retour d’expérience qui ne serait tronqué par aucune prise de position, qu’elle soit politique ou idéologique.
Merci à ce journaliste pour son retour d’expérience et bonne chance pour votre session de rattrapage !
10 réflexions sur « Un journaliste a tenté de passer son permis de chasse mais a échoué »
Reconquête avec Marion Maréchal qui n’a jamais peur de dire les vérités qui font mal aux oreilles.
Un journaliste honnête cela existe encore….je n’y croyais plus
Un certain Nagui, celui de « N’oubliez pas les paroles » qui a traité les chasseurs d’alcooliques, devrait passer l’examen juste pour vérifier son niveau . Un certain Hugo Clément qui a fait de la doctrine anti-chasse un bon gagne-pain devrait faire de même, tout comme les donneurs de leçons genre Rousseau, Jadot et Cie, planqués à la Nupes, tout comme les savants de chez LFI, les sachants de Renaissance ou les Socialos bien pensants. Mais tous ces bobos des villes ne réussiraient l’épreuve qu’en trichant et en mentant comme des arracheurs de dents, comme ils savent le faire pour justifier l’écologie punitive, comme ils savent le faire dans de multiples circonstances.
La note d’examen de 0/20 il faudra la leur donner le 09 Juin afin de les recaler définitivement sans possibilité de repêchage.
On sait pour qui vous votez
C’est un permis de chasser et pas un permis de chasse. Cela peut paraître anodin, mais pas de votre part !
Sévère mais juste !
Pourquoi les fous (EELV, LFI, SOCIALOS, L214, LPO, ASPAS, ONE VOICE, AVA, . . .) promptes à attaquer et entacher malhonnêtement le monde rural et de la chasse ne se lancent ils pas dans cet examen ? Leurs connaissances et niveau intellectuel dogmatique ne leurs permettent pas à coup sur des réponses adéquates sur le monde de la nature, la vraie, pas celle de la bobologie urbaine.
Bonjour
Pour l examen du permis de chasse on passe d abord l épreuve pratique et si on obtient une note de 15 minimum on peut prétendre passer l épreuve theorique
Cdlt
Exactement, la on parle de l’ancienne formule. Ça fait au moins 7 ans que ça changé. C’est un examen unique maintenant
Il existe encore des journalistes professionnels… heureusement ! Bonne chance pour la suite .