Comme dans bien d’autres départements de France, les associations animalistes s’attaquent aux périodes de chasse complémentaires du blaireau en Charente-Maritime. La justice a cette fois encore voulu se ranger du côté des anti-chasse et a suspendu l’arrêté en cours.
La chasse du blaireau suspendue en Charente-Maritime.
En ce début de mois de juillet, le tribunal administratif de Poitiers a décidé de suspendre l’arrêté permettant aux veneurs sous terre de continuer à chasser le blaireau. Cet arrêté accordait une période de chasse complémentaire du blaireau par déterrage du 1er juin jusqu’au début du mois de septembre mais les chasseurs ont donc du revoir leurs plannings.
Les juges ont préféré se ranger du côté des associations animalistes One Voice, l’ASPAS et AVES France qui ont intimé l’ordre à ces derniers de suspendre l’arrêté. L’argument principal avancé est que les blaireautins ne sont pas encore émancipés à cette période de l’année et par conséquent, que leur déterrage ne doit pas être autorisé.
Encore une fois, cette suspension va donner bien du fil à retordre aux autorités lorsqu’un terrier de blaireau sera repéré dans une zone ou il représente un danger, pour les infrastructures ou pour les hommes.
Un mode de chasse « cruel et barbare ».
Comme à chaque fois, les animalistes attaquent les arrêtés en essayant d’avancer des arguments en faveur de la faune sauvage et profitent souvent d’un manque de données récoltées par les autorités puisque les choses fonctionnent ainsi depuis la nuit des temps et que personne n’avait pour le moment remis la gestion du blaireau en cause.
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Pourtant, une fois l’affaire terminée, les anti-chasse ne manquent pas de se lancer dans de grandes tirades, se réjouissant de faire reculer ce qu’ils considèrent être une « méthode cruelle et barbare » en parlant de ce mode de chasse.
Une fois l’affaire classée et les indemnités encaissées, ces associations ne feront plus grand chose en faveur du blaireau, ni des autres espèces d’ailleurs puisqu’au contraire des chasseurs, ces derniers sont rarement sur le terrain.
Les chasseurs s’investissent pour la biodiversité à travers des actions concrètes tandis que les anti-tout préfèrent s’activer devant les tribunaux ou en politique et voir les tribunaux se rendre complices d’une telle victoire fait forcément réagir une nouvelle fois le monde cynégétique.
7 réflexions sur « La justice suspend la chasse du blaireau en Charente-Maritime »
Quel honte
MOBILISONS NOUS
SOYONS SOLIDAIRES POUR LA RURALITE
Claude ce serait pourtant logique, vous protégez cette espèce, vous êtes responsable pénalement et financièrement
Seolane.
Arretez de dire n importe quoi sur les blaireaux et autres animaux. C est l homme qui detruit TOUT
Richaud,les agriculteurs vous porterons la facture et vous constaterez que nous ne disons pas n importe quoi.le blaireau fait parti de la nature mais dans quelques endroits,il. Pose problème et c est souvent sur plainte qu il son chassés
Il faut faire payer les dégâts ainsi que les bêtes que l’on sera obligés euthanasié à toutes ses associations qui n’on qu’un seul but interdire la chasse au moins les subventions serviront à quelque chose d’utile
Le tribunal administratif de Poitiers est donc désormais responsable des ravages du blaireau sur les cultures, l’affaissement des routes et les accidents de la route occasionnées, les ONGs seront considérées comme complice et devront solidairement dédommager les victimes du blaireau!
Les juges responsables de quoique ce soit…? C’est une blague ?