La vènerie sous terre est un des modes de chasse qui subit le plus d’attaques directes de la part des associations animalistes qui considèrent que cette pratique cynégétique ne devrait déjà plus exister.
Dans plusieurs départements, la préfecture autorise le déterrage des blaireaux selon des règles strictes dans le but de lutter contre les dégâts causés par ces animaux capables de creuser d’énormes terriers qui peuvent alors mettre en danger des infrastructures comme les voies de chemin de fer par exemple.
Le blaireau est aussi un vecteur important de la tuberculose bovine et lorsque ce grand mustélidé est trop présent sur un territoire, les agriculteurs demandent l’intervention des équipages capables de procéder à leur régulation.
Si les préfets jouent le jeu et comprennent les enjeux de ces prélèvements pour leur territoire, ce n’est pas le cas des tribunaux qui se rangent presque systématiquement derrière les associations animalistes.
Des arrêtés ont été retoqués dans l’Orne, la Manche, dans l’Oise, dans le Tarn-et-Garonne et d’autres sont en attente de jugement dans d’autres départements.
L’ASPAS, One Voice, AVES France et la FNE s’en donnent à cœur joie et sont désormais rompues à l’exercice, trouvant toujours une faille dans les arrêtés pour les faire annuler. Au delà d’interrompre le déterrage du blaireau, c’est souvent l’occasion pour ces associations de demander quelques euros pour les frais engagés.
Le manque de données scientifiques justifiant les arrêtés préfectoraux sont souvent invoquées par les associations animalistes.
Cette vague d’attaques judiciaires sur le déterrage du blaireau signe évidemment une grande séries de victoires pour les anti-chasse mais aussi de futurs dégâts potentiels dans les élevages et sur les cultures pour les agriculteurs, sans parler des dégâts causés sur le territoire lorsque le blaireau creuse ses galeries.
7 réflexions sur « La justice se positionne massivement contre le déterrage des blaireaux un peu partout en France »
Faut donné les factures des dégâts à ces écolos et aux tribunaux qui leur donnent raison
Faut mieux abattre 300 boeufs parce que il ont eu la tuberculose a cause des blaireaux faite payer l abattage Aux écolos
Il faut que les agriculteurs porte plainte contre les dites assos et demande remboursement des préjudices subies,les fédérations doivent le faire également.
Dans certaines régions , le blaireau fait beaucoup plus de dégâts agricole que le sanglier .
Mais ces associations et les jugent s’en moquent royalement .
Les dérives de l’interprétation de la maltraitance animale vont nous permettre à l’avenir de crever de faim sur un sac de pain
La justice se positionne MASSIVEMENT contre la chasse en France ! Les juges rendent des jugements idéologiques et politiques…plus rien à voir avec le droit et le juridique ! Les Juges idéologiques , Conseil d’état , conseil constitutionnel…a dissoudre !
trés bonne police mais une justice complétement gangrénée ; tout est dit. Pauvre France !!!