De mémoire d’homme, cela fait longtemps qu’une moisson n’a pas été aussi laborieuse. La météo exécrable de juin et juillet 2021 a retardé les récoltes à tel point qu’à la mi-août on trouve encore des champs de blé sur pied, le colza a été moissonné fin juillet et des petits pois restent encore dans les champs.
Toutes ces cultures encore debout sont soumises aux aléas climatiques, mais également à l’appétit des suidés et autres faunes sauvages bien plus longtemps qu’à l’accoutumée. Certes ce ne sont pas les cultures les plus dévorées mais elles subissent malgré tout du dégât. Quid également du maïs et du tournesol qui eux en revanche sont des mets prisés.
En effet, l’afflux d’eau a fait monter les tournesols qui dépassent facilement les 2 mètres, les rendant particulièrement fragiles. Le maïs tient mieux debout, mais il risque de subir également l’appétit des populations de sangliers toujours aussi bien portantes, et renforcées après 2 saisons plutôt tumultueuses en terme d’organisation de la chasse à cause du Covid.
Dès lors se pose déjà la question du bilan financier 2021 pour les FDC qui risquent encore de devoir sortir beaucoup d’argent. A moins que la réforme du système d’indemnisation des dégâts de gibier prévue initialement fin août vienne « sauver » certaines fédérations, il est fort à parier que l’année soit financièrement compliquée.
17 réflexions sur « Dégâts de gibier : vers une année record ? »
J ai chassé pendant 40 années il n’y avait pas tous ces plans de chasse
Et tout ce passait bien
Maintenant C est qu une histoire de fric
Avec toutes les fédérations de chasse
Alors viré moi tous ses gens
Qui profitent de vous
La chasse a toujours excité avec le réchauffement on a pu constaté qu’il y a de plus en plus de sangliers. Ils ont prêt de nos maisons de quoi manger et boire …pourquoi resteraient ils a gratte le sol aride alors qu en rentrant dans les villages tout y est plus facile ? Laissons aux chasseurs la place qu’il leur incombe afin de limiter au plus vite leur prolifération car à cette vitesse il sera de plus en plus difficile d arriver à gérer les dégâts de jour en jour plus important
C’est une évidence, les zones de non chasse sont à la charge des propriétaires et de ceux qui les mettent en œuvre
Les chasseurs paie les dégats et ily a qu a faire bouffer de l herbe aux écolos
Jean. de toute façon la chasse est en surcie si les ecolos continus.
Tout a fait car nos amis( les écolos) veulent q une chose nous interdir de pratiquer nos loisirs mais nos loisirs participe à toute la société car sans nous les chasseurs qui indebniserai les agriculteurs mais pas de soucis il faut faire une enquête et voir a quel point ils peuvent payer les dégâts et nous arrêter de chasser c est a voir.
les faux ecolos de merde nont qu a payer
C’est une vérité vraie
Forcer les associations et les maires écolos sur toutes les zones où ils avaient interdit de chasser de payer les dégâts et on verra la tronche qu ils feront. Plus de payements de dégâts sur les zones non chassables c est au associations de chasses de monter aux créneaux.
Tout à fait d’accord il faut faire payer ces semblants de bobos ecolos
????
Tout à fait d’accord depuis très longtemps de cette avis. Plus pour organiser une grève de validation du permis de chasse d’une année et renouvelable. Pour laisser la charge des dégâts des cultures aux opposants et les écolos…………. Mais il faut la majorité des chasseurs sur le plan national…… Dur.. Dur…..
tout à fait d accord avec toi
Tout-à-fait d’accord
Attention avec ce raisonnement les dégâts pourraient être payés par autre structures et fin des chasseurs….
Tout à fait d accord avec vous je suis de l Indre 36et ont envahit d ecolo cette solution et bien il faudrait créé une association professionnelle pour cela a partager je suis prêt à le faire
Faire payer le gibier suffirait pour indemniser les agriculteurs.
De plus les forestiers ne touchent rien alors que les chasseurs exercent aussi en forêt.