Chez nos voisins Helvètes, la question du loup est visiblement plus travaillée et largement prise au sérieux par les élus qui souhaitent autoriser les prélèvements préventifs du grand canidé.
A l’occasion de la révision de la nouvelle loi sur la chasse mise en place en Suisse, les institutions ont décidé de mettre en place la possibilité de tirer les loups du 1er septembre au 31 janvier.
Jusqu’ici, des autorisations étaient délivrées pour abattre les loups qui avaient attaqué des troupeaux mais ce mode de fonctionnement semble ne plus être suffisant pour éviter les risques de nouvelles attaques sur le bétail comme sur les êtres humains.
Plusieurs élus ont rappelé que le danger était grandissant pour éviter que les loups ne soient menaçants dans certaines zones habitées ou contre lesquels les mesures de protection des troupeaux ne sont pas suffisantes.
Aujourd’hui, 180 loups sont présents sur le territoire Suisse et leur nombre pourrait se voir doubler dans les 3 prochaines années.
Avant d’être adoptée, cette loi pourra être attaquée en référendum mais la mesure qui a déjà été retoquée une première fois apparaît désormais comme nécessaire pour limiter les risques d’attaques de loups dans le pays.
2 réflexions sur « La Suisse veut autoriser les prélèvements de loups préventifs »
Ces récupérations forcenées d’armes ,n’est qu’un indicateur de la peur qu’ inspire le peuple à ses dirigeants
Si ,à Dieu ne plaise,une guerre civile devait ravager la France, nous les douschiens,nous seront sans défenses et ce n’est pas ceux qui nous aurons mis dans la m…. qui viendront nous en sortir
Ils seront eux ,se lettre à l’abris ,moi qui connaît les musulmans pour avoir combattu avec des traitres déserteurs du F L N ,je sais qu’ils se débarrassent des traîtres qui les ont aidé,qui trahit une fois ,trahira encore et encore
La suisse n’est vraisemblablement pas concerné par la directive 79/409 : elle est donc souveraine en la matière et contrairement à nous elle n’a pas de compte à rendre .
Évidemment sur l’avis de vrais écologistes elle peut anticiper , pour nous c’est différent une fois que l’âne s’est échappé nous fermons la porte de la grange.
Les loups nous coûtent une fortune et plutôt que de consommer nos brebis en circuit court elles finissent dans le gosier des loups ; finalement nous sommes riches et la politique passe avant l’intérêt de la nation .
Pourtant cette volonté de récupération des armes ( de chasse) prouve qu’une inquiétude est en train de naître
Les armurodromes ne sont qu’un test grandeur nature qui cultive la peur