En ce début de mois de janvier, une armurerie du Gard a été victime d’un cambriolage conséquent lors duquel plusieurs armes ont été volées. L’enquête a été menée et des moyens importants ont été déployés pour retrouver les armes manquantes ainsi que les auteurs du cambriolage. Les premiers résultats semblent avoir été atteints.
Un cambriolage d’envergure.
Dans la nuit du 1 au 2 janvier, l’armurerie Baumel située à Marguerittes dans le Gard a été visée par un cambriolage aux alentours de 4h du matin. Si dans un premier temps, les premiers concernés ont affirmé qu’ils étaient simplement fermés pour inventaire après le cambriolage de l’animalerie et non de l’armurerie, la suite des évènements démontre bien que des armes avaient pourtant bien été dérobées cette nuit là.
Cette nuit là, les autorités faisaient état d’une soixantaine d’armes volées lors du cambriolage ainsi que des munitions mais on ne sait pas avec exactitude quel était le butin des voleurs.
Des interpellations et des perquisitions.
L’enquête a été menée de toute urgence pour découvrir ou étaient passées les armes dérobées et qui pouvait être à l’origine d’un coup de cette ampleur.
Selon les médias régionaux, les enquêteurs ont pu relier les membres d’un gang Lyonnais à cette histoire et ont pu procéder à plusieurs interpellations dans le Rhône dès le 04 janvier.
Pour le moment, le nombre d’individus interpellés n’est pas encore connu mais les perquisitions qui ont suivi auraient permis de retrouver une grande partie du butin.
En effet, la majorité l’arsenal volé cette nuit là serait désormais entre les mains de la justice dont 3 kalashnikovs pourtant démilitarisées mais qui furent volées la nuit du cambriolage.
Suite aux perquisitions et aux interpellations, le parquet de Nîmes a transféré l’affaire à la JIRS (Juridiction interrégionale spécialisée) qui sera compétente sur le dossier qui semble lié au grand banditisme.