Les chasseurs ont parfois bien du mal à trouver un local qui puisse répondre à leurs besoins qui sont toujours plus conséquents au vu des missions dont ils sont aujourd’hui responsables. Dans une commune du Morbihan la commune a décidé de s’investir en faveur des associations et plus précisément des chasseurs.
Un investissement de 250.000 euros.
A Péaule, commune située à l’est de Vannes, les chasseurs vont bientôt bénéficier d’un nouveau local dans un avenir proche.
La commune a en effet décider de réaliser un investissement conséquent en faveur de ses associations et plus particulièrement pour l’association des chasseurs qui va pouvoir en bénéficier.
Durant le dernier conseil municipal qui a eu lieu en début de semaine, les élus ont validé le projet d’un bâtiment associatif qui pourra servir aux chasseurs une fois sorti de terre.
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Le projet n’est pas de peu d’envergure car après avoir inclus toutes les charges, le bâtiment devrait revenir à environ 250.000 euros.
Le bâtiment servira aux réunions et à l’après chasse.
Les chasseurs ont besoin d’un lieu ou se réunir avant le début de la chasse, pour les réunions intermédiaires et les différents rendez-vous nécessaires pour organiser la chasse en toute sécurité.
Au delà de favoriser l’action de chasse, le bâtiment aura aussi vocation à accueillir les chasseurs une fois la chasse terminée. Les nemrods ont en effet besoin d’un local adapté pour procéder à la découpe et au partage du gibier prélevé.
Les chasseurs ont bien souvent pour habitude de se débrouiller pour trouver un local qui pourra les accueillir mais il faut aussi savoir souligner les efforts fournis par les municipalités lorsque celles-ci sont proches de leurs administrés, à l’image de la commune de Péaule qui accompagne les chasseurs de la meilleure des façons.
5 réflexions sur « Morbihan : une commune va investir 250.000 euros dans un bâtiment attribué aux chasseurs »
Bravo à cette commune
Bonjour,si je comprends bien c’est une sorte de « mutualisation du local « pour toutes les associations ,pas que pour les chasseurs.
Au moins un Maire et son conseil municipal qui estime les chasseurs. Ce n’est pas le cas partout. Il faut lutter contre la prolifération des sangliers, mais sur de nombreux territoires, il n’est même pas possible de traiter convenablement les animaux tuer et valoriser la venaison. Il y aurait pourtant un intérêt à mettre en place en regroupant peut-être quelques communes, des structures permettant de préparer les carcasses d’animaux pour un contrôle sanitaire par un vétérinaire. Dépecer la viande et la rentrer dans un circuit pour que la population qui le désire puisse en profiter. C’est un serpent de mer qui file depuis des années, mais avec de la volonté c’est certainement possible. J’en parle parfois, je serai même près à prélever les animaux, les préparer pour la présentation au vétérinaire, sans contrepartie. Il ne resterai plus après qu’a faire procéder à la transformation. Le coût serait à mon avis bien moindre que la viande d’élevage et permettrait à certains de nos concitoyens d’avoir accès à de la viande cent pour cent Bio.
Au delà de notre « mission de service public » qui pour ma part n’est pas la motivation, il faut reconnaître au monde de la chasse une mixité et une entente cordiale sans effort dans leur réunion et je souligne, sans alcool !
beaucoup devrait prendre exemple pour leur rapport avec les autres.
Continuez ainsi 👍
Bravo à cette municipalité
Bravo, car on a hélas des élus de communes en France résolument anti chasse.
Ainsi, en janvier 2025, la mairie de Grenoble a formulé «un vœu» pour interdire la chasse dans la ville. Ce qui est complètement débile puisque la chasse n’est pas pratiquée à l’intérieur d’une ville. Or, Grenoble est une ville entre les mains d’écolos qui veulent faire parler d’eux mais qui n’avouent jamais que leur ville est l’une des plus dangereuses de France où la racaille se joue en toute impunité d’une police désarmée et vulnérable.
Autre exemple, Françoise Louapre maire de Lallié, a pris un arrêté pour faire interdire les carabines rayées trop dangereuses à la chasse. Or, Laillé fait partie de « Rennes Métropole ». C’est pourtant à Rennes, ville dirigée par Nathalie Appéré et sa cohorte de gauchistes EELV-Front de Gauche, que sévit le narco-banditisme. C’est pourtant à Rennes où les règlements de compte à la kalachnikov et au couteau sont quotidiens et traumatisent la population.
Mais peut-être qu’en s’en prenant aux chasseurs, le narco-banditisme va cesser et les citoyens trouver enfin la sécurité.
Encore bravo à la municipalité de Péaule dont les élus n’ont pas des oeillères et un cerveau bourré de préjugés.