Un vote décisif des ambassadeurs des Etats membres ce 25 septembre devrait conduire au déclassement du statut du loup, passant de « strictement protégé » à « protégé » dans la Convention de Berne, dans un avenir proche.
Pour la FNC, adapter le statut de protection du loup est une avancée historique car elle donnera enfin une perspective claire et un cadre juridique quant à une nécessaire flexibilité accrue en matière de gestion des populations de loup, car les possibilités déjà existantes s’avèrent totalement insuffisantes.
Rappelons que le statut de protection du loup au titre de la convention de Bernes a été établi sur le fondement des données scientifiques disponibles au moment de la négociation de ladite convention, en 1979. Le loup, en voie d’extinction dans les années 70 avec seulement quelques populations isolées en Espagne, en Italie et en Grèce, est aujourd’hui en pleine expansion. Force
est de constater que cette augmentation des populations en France conduit à des situations dramatiques pour les éleveurs et pour la pérennité de l’élevage qui subit des attaques sur les territoires ruraux, bien au-delà de nos montagnes.
Pour Willy Schraen, président de la FNC : « La concentration des populations de loups dans certaines régions d’Europe est devenue un véritable danger. En France, la pérennité de l’élevage, du pastoralisme, est en question sur nos territoires ruraux. Nous constatons également l’impact du loup sur la biodiversité avec la disparition d’espèces comme les ongulés à certains
endroits. Ce vote donnera enfin de la flexibilité pour agir et ouvre la porte aux déclassements d’autres espèces décidés il y a plus de 40 ans et qui aujourd’hui se portent bien. ».
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .