Ce vendredi 19 avril, une Varoise a croisé le chemin d’un sanglier devant la boulangerie de Varages. Si croiser un sanglier dans un village n’est plus un évènement très rare, elle a tout de même observé un individu très spécial puisque le sanglier était blanc.
Elle croise un sanglier blanc en pleine zone urbaine.
Si le sanglier possède le surnom de « bête noire » que dire de la rencontre qu’a pu faire une habitante de Varages devant la boulangerie de son village ce vendredi matin.
L’information a été partagée par Nice Matin qui a pu interroger Josiane Tavernier, l’habitante ayant eu le réflexe de faire des photos de l’animal.
Celle qui réside dans le village depuis plus de 15 ans n’en est pas a son premier sanglier mais habituellement, ils sont tout ce qu’il y a de plus classique.
Cette fois, le sanglier possédait une robe blanche qui l’a fortement surprise, au point qu’elle explique avoir confondu la bête avec un chien au premier coup d’œil.
Une couleur rare mais pas impossible à croiser.
Les sangliers blancs sont des spécimens très rares que l’on ne croise que si on a beaucoup de chance.
Pourtant, quelques rencontres de ce type ont déjà été rapportées sur le web notamment en Espagne ou un sanglier blanc avait pu être observé près d’une ferme. Un chasseur a même pu prélever un sanglier blanc lors d’une chasse à l’affût, là encore en Espagne.
Cette observation va assurément animer les débats entre chasseurs dans le département pendant de longues semaines, certains parleront d’albinisme quand d’autres mettront en cause des indélicatesses menant à l’hybridation entre sangliers et cochons de ferme.
Dans tous les cas, la riveraine devrait surement se laisser tenter par un billet de loterie car croiser un sanglier blanc en pleine rue est incontestablement une chance qui ne se présente pas tous les jours.
4 réflexions sur « Une Varoise tombe nez à nez avec un sanglier blanc en pleine ville »
La nature est ainsi faite, le mélanisme ou l’albinisme font partie des curiosités de la nature et ce n’est que la vitesse de l’information qui a changé.
Par contre on peut se rendre compte de la multiplicité des animaux dits de compagnie qui posent des problèmes et surtout en campagne ou des pseudos ruraux sont arrivé avec leur cohorte d’inepties.
Cochons américains ou asiatiques, laissés en liberté, non stérilisés et l’on assiste a des naissances dues au croisement entre sanglier et ces animaux pour donner des animaux qui bien souvent se retrouvent dans la nature et polluent génétiquement l’espèce originelle du sus crofa et contribuent a l’augmentation des problèmes
Blanc ou noir c’est malheureusement plus le sujet : nous pouvons bien comprendre qu’avec une urbanisation et une expansion démographique humaine grandissante la faune sauvage subit des modifications . Pas besoin de créer une polémique supplémentaire, à l’identique du loup hybridation ou pas le problème est pratiquement identique sauf sur le plan juridique.
Les seuls bénéficiaires sont comme toujours les emplois dédiés et le business qui en découle ( laboratoires , expertises )
Les seuls perdants l’agriculture et la chasse : en juin tous aux urnes
Accomplir son devoir de citoyen est un gage pour l’avenir, après c’est trop tard ont doit s’incliner et la revendication est du temps perdue
Bonjour.
Il s’agit ici, peut-être d’avantage, d’un « cochonglier » (croisement d’un sanglier avec un porc domestique..), car cet animal « hybride » issu d’un croisement, ne présente pas les mêmes cariotypes en gêne d’un sanglier sauvage de l’espèce sus crofa..
Un tel faux sanglier et animal avait d’ailleurs été prélevé il y a des années de cela dans la Meuse et relate par le Dr. Alain François alors responsable de la fédération de chasse de la Meuse.
C’est pas Mathilde?