En août dernier un chasseur et son fils avaient été attaqués par un ours en pleine chasse en Suède. L’affaire avait fait grand bruit à l’époque car le fils avait fait preuve d’un grand courage en sauvant son père que l’ours avait mordu au visage. Si la mort de l’ours avait déjà causé quelques soucis aux animalistes à cette époque, cette épilogue risque bien de les faire bondir de nouveau.
Un acte héroïque du fils qui avait sauvé son père.
C’était donc pendant l’été dernier qu’un père décide d’emmener son fils de 15 ans dans les terres suédoises pour chasser l’ours. Les deux hommes poursuivent un ours dans la région de Stockholm quand le plantigrade parvient à les surprendre et les attaque violemment.
L’ours s’en prend d’abord au père du jeune homme au niveau du visage et le bloque sur le sol tout en essayant de le tuer. Devant cette scène atroce, son fils se jette sur l’ours et le frappe à la tête pour qu’il relâche son étreinte. L’ours, agacé de se faire ainsi attaquer, s’est retourné vers l’adolescent avant de lui mordre le bras.
Cette intervention extrêmement courageuse du fils a laissé le temps au chasseur de reprendre en main sa carabine et de mettre à mort l’ours qui menaçait quelques secondes plus tôt de lui ôter la vie.
Une fois la situation maîtrisée, les secours ont pu être appelés sur place et venir en aide au chasseur et à son fils qui ont été emmenés vers l’hôpital le plus proche.
Manger l’ours qui l’a défiguré « une vengeance ultime ».
On pourrait penser que l’histoire s’arrêterait là mais les médias Suédois ont de nouveau repris cette affaire car plusieurs mois après les faits, le chasseur et son fils ont encore fait parler d’eux.
Alors qu’ils sont encore en partie en convalescence, ils ont pu littéralement goûter à la vengeance.
Après l’attaque de l’ours, Pär Sundström a pu compter sur ses amis pour s’occuper de la venaison et ces derniers ont rempli sont congélateur avec la viande de l’ours qui l’avait défiguré.
Suite à plusieurs opérations et des mois à se remettre de l’attaque, le chasseur et toute sa famille ont décidé qu’il était temps de manger de l’ours.
L’homme a confié au média suédois Aftonbladet que l’affaire était prévue de longue date : « Nous avions décidé dès le départ que si nous tuions un ours, nous ferions des tacos avec sa viande si elle était comestible ».
Forcément, le repas avait une saveur très particulière pour toute la famille puisque l’homme a ensuite ajouté : « Cuisiner un tacos avec un ours qui m’a mordu au visage doit être la vengeance ultime ».
La quantité de viande récupérée aura permis à toute la famille de préparer bien d’autres repas qui rappelleront encore à tous ses membres à quel point cette viande aura été durement acquise.
5 réflexions sur « Un homme mange l’ours qui l’avait défiguré lors d’un repas en famille »
Il a mangé l’ours et alors? Moi je mange du cheval et pourtant je monte je mange mes poules et moutons et je les élève……..il n’y a que les bobos escrolos végans que ça gênent eux ils référent brouter…… Bon appétit à lui et ses invités
Dans ma jeunesse, mes frères et moi, chassions les pies que ma mère préparait avec des haricots, façon « cassoulet » . C’était sacrément bon et tous mes frères et soeurs n’ont jamais souffert de la faim, à une époque où la viande de boucherie n’était sur la table que le dimanche dans les familles modestes. Aujourd’hui, les animalistes intégristes et autres antispécistes radicalisés voudraient interdire la consommation de viande, interdire la chasse et interdire la pêche pour nous faire bouffer des steaks artificiels préparés par des apprentis sorciers en blouse blanche.
Et c’est entre-autres les fabricants de steaks artificiels qui les financent pour nous emmerder
Complètement d accord avec Alain, tout chasseur digne de ce nom doit tout faire pour retrouver un animal blessé et soit partager ou cuisiner toute bête tuée.moi aussi j ai mangé du pâté et du civet de rat gondin et j en ai fait goûter a d autres, sans leurs dire avant,quasiment tous ont été très surpris du résultat car ils avaient apprécié.actuellementp avec l abondance du grand gibier (chevreuil,sanglier)on ne les tiré plus.
Très bel exemple : ce qui est tué a la chasse ne doit pas se gaspiller et avec tous les chefs étoilés que nous avons les recettes ne manquent pas !!!!
Parfait , excellent et en opposition au gaspillage alimentaire des pays riches .
Perso j’ai goûté au pâté de ragondin : ça se laisse manger ! Et ma grand mère cuisinait les pies et les geais avec du lard et du vin rouge et à la fin du repas la marmite était vide .