Voilà 4 ans qu’Elisa Pilarski est décédée dans des conditions qui ont longtemps fait débat, alors qu’elle était enceinte, et que les anti-chasse ont tenté d’orienter pour servir leur idéologie en se servant du drame vécu par la famille et les proches de la victime.
Depuis 4 ans, les avancées de la justice sont minimes.
La justice est une machine lourde qui peut parfois mettre des années avant de se prononcer définitivement sur un dossier. C’est particulièrement vrai dans le cadre de la procédure qui concerne l’affaire Elisa Pilarski dans laquelle plusieurs parties ont essayé d’influencer le déroulement de l’enquête, comme AVA qui voulait profondément faire accuser les chasseurs présents dans la zone ce jour là.
Aujourd’hui, les choses ne sont toujours pas terminée notamment en raison de la succession de plusieurs juges d’instruction à Soissons ou l’affaire doit être jugée.
Cette fois, il semblerait que les choses se fixent au niveau des professionnels et qu’un procès pourrait avoir enfin lieu en 2024.
L’affaire est extrêmement complexe car plusieurs expertises et contre-expertises ont été demandées par les différentes parties prenantes. Aujourd’hui, certaines d’entre elles continuent de camper sur leurs positions comme Christophe Ellul, le compagnon d’Elisa Pilarski qui était propriétaire de Curtis, le chien qui serait responsable de sa mort.
Ce dernier continue d’affirmer que la responsabilité revient aux chiens de la meute de chasse à courre comme le rapporte le site RMC Crime.
La procédure doit prendre fin.
On peut imaginer à quel point les lenteurs de la justice doivent encore aujourd’hui impacter la famille et les proches d’Elisa Pilarski.
Une autre des parties qui attend avec impatience la fin de cette procédure est le maître d’équipage de la chasse à courre qui a continuellement été mis en cause, calomnié et subit des propos intolérables, principalement de la part des opposants à la chasse.
A l’heure actuelle, le compagnon de la victime aussi continue de marteler que ce sont les chiens de la chasse à courre qui sont à l’origine du décès d’Elisa Pilarski.
Une défense qui est balayée d’un revers de la main par les avocats qui se reportent sur les expertises réalisées en 2020 et qui ont totalement mis hors de cause les chiens de la meute.
Il a été prouvé scientifiquement que Curtis était le seul chien responsable du décès de la victime.
Des contre-expertises ont été commandées par la défense mais jusqu’ici, les expertises de départ n’ont pas pu être contestées.
Les choses devraient donc avancer un peu plus rapidement dans les mois à venir et si un procès doit avoir lieu, il se tiendra avant que l’année 2024 ne se termine.
![[Vidéo] Des sangliers s’en prennent aux touristes sur les plages de Sardaigne](https://www.chassepassion.net/wp-content/uploads/2024/11/sanglier-vs-touriste-en-sardaigne.webp)
8 réflexions sur « Quatre ans après la mort d’Elisa Pilarski, l’équipage de chasse à courre toujours mis en cause par le compagnon de la victime »
Le chien Curtis est un pitbull américain, une race interdite en France depuis 1999. C’est un chien extrêmement dangereux et, qui plus est, une machine de guerre entraîné à l’attaque par son maître.
Les prélèvements ADN sur les 62 chiens de chasse à courre utilisés ce jour-là sont formels : aucun ADN des chiens de chasse n’a été retrouvé sur le corps de la victime.
En outre, l’écart entre les crocs supérieurs et inférieurs des chiens de chasse est au minimum de 4,4 centimètres. Or, l’autopsie a montré que les blessures sur le corps d’Elisa Pilarski ne dépassent pas 3,6 centimètres… c’est à dire l’écart précis entre les crocs supérieurs et inférieurs de Curtis.
Ajoutons que les chiens de meute n’attaquent pas une personne car ils ne sont pas dressés à l’attaque contrairement au Pitbull, mais éduqués à 100% pour pister le grand gibier et rien d’autre. Les promeneurs peuvent donc les regarder passer en toute tranquillité sur la voie de l’animal.
Il n’y a que les anti chasse qui ne connaissent rien aux chiens pour contester l’évidence et nier les preuves scientifiques apportées par les experts.
Lors de son transfert à la Sacpa, en 2019, une bénévole du refuge de Beauvais a été attaquée et mordue gravement au bras et à la jambe par le gentil Curtis.
Bref, monsieur Ellul, propriétaire de ce chien dangereux qu’il a éduqué au combat, en dépit de la Loi sur l’importation de la race, doit assumer ses responsabilités.
CHRISTOPHE ELLUL n’est m^me pas capable de reconnaitre que c’est son chien d’attaque qui est la cause
Cela a été démontré
Ce n’est qu’un menteur comme les ANTI TOUT alors que cela a été prouvé
Il n’a qu’a pas dressé un chien à l’attaque déjà
Qui peut croire une seule seconde que ces chiens de chasse puissent attaquer en s’acharnant sur un humain…. personne qui connait bien les chiens de chasse !!!
Il est intolérable qu’il faille attendre 4 ans pour juger cette affaire elle est belle la justice Française
Effectivement ce type est un voyou mensonger qui n’a pas le courage pour faire face à ses errements dans son comportement de dressage du chien Curtis et du meurtre de son épouse par son propre chien abruti par une mauvaise éducation.
La meute de chiens de chasse est dressée pour suivre un gibier un point c’est tout, et elle à été reconnue non coupable après un certain nombre de tests.
Il accuse la meute de chasse à courre pour ne pas faire face à ses erreurs .
Il est le seul responsable du décès de sa compagne
Le Mac il est pas encore en prison depuis le temps avec ses histoires de combats de chien
Oui, ce monsieur qui a envoyé un sms à Elisa Pilarski disant qu’il allait faire piquer son chien après l’appel de détresse de celle ci( élément retrouvé après plusieurs années sur le téléphone d’Elisa Pilarski: bravo les enquêteurs, mais pas sur celui de Mr Ellul sans doute effacé opportunément).
Il savait donc parfaitement la vérité des le début et l’a cachée pour sauver sa petite personne de ses responsabilités (trait de personnalité apparemment pas nouveau chez lui selon son ex femme et sa propre fille) en accusant odieusement des gens qu’il savait parfaitement innocents.