Ce vendredi 30 juin, une intrusion pour le moins remarquée a eu lieu dans les locaux de la FDSEA du Doubs. Vers le milieu de la matinée, des militants pro-loups se sont introduits dans les bureaux du syndicat d’exploitants agricoles avec la ferme intention de se faire entendre auprès de ceux qui cherchent encore comment défendre leurs troupeaux des attaques du grand canidé.
L’action militante a été menée par les associations de défense du loup de la région à savoir Animal Rebellion, Loup Massif du Jura et Defend the wolf.
Surpris de cette arrivée, les agriculteurs ont très bien accueilli les militants qui, pour pouvoir pénétrer dans les bureaux, ont rusé en envoyant l’un de leur membre entrer seul avant que ce dernier ne tienne la porte ouverte à ses camarades.
Douze membres des différentes associations envahissent alors le bâtiment, accompagnés de la presse, avant d’être conduits vers une salle de réunion ou les échanges resteront assez similaires à ceux que l’on connaît d’habitude.
Les défenseurs du loup pensaient-ils vraiment que forcer le passage vers les membres de la FDSEA, sans rendez-vous et munis de pancartes comme s’ils allaient manifester était une bonne manière d’engager le débat?
La présence de la presse suggère plutôt qu’une telle action avait pour but de faire parler des associations présentes dans les médias et qui sait, d’essayer d’exaspérer suffisamment les éleveurs pour générer un maximum de tumulte.
Bien que leur action ait été médiatisée, le fait d’investir les locaux de la FDSEA du Doubs n’aura mené qu’à des débats, sans résultats, puisque les militants veulent toujours une protection totale du loup en France alors que les éleveurs continueront de demander leur régulation.
![[Vidéo] Une jolie compagnie de sangliers s’offre un bain frais](https://www.chassepassion.net/wp-content/uploads/2024/11/sanglier-bain.webp)
6 réflexions sur « Des militants pro-loups ont envahi les locaux de la FDSEA du Doubs »
Il faut leur rappeler qu’il y a pas si longtemps , les loups étaient aux portes des grandes villes , alors pourquoi pas en relâcher dans leur ville aussi , dans les cours d’écoles, dans les parcs urbains , on verra s’ils sont d’accords. Pauvre France , je suis content d’être à la fin de ma vie pour ne pas voir ce que tu vas devenir.
Ces personnes sont des guignols
Qu’ils accueillent le loup chez eux si cela leur fait plaisir mais le super prédateur est dangereux pour l’ensemble des personnes et de la biodiversité
Incroyable cette France ou des minorités écolobobos dirigent nos élus qui leurs « disent oui amen » en baissant leur froc !
Si je comprends bien les « escrologiques » veulent que nos campagnes retournent au moyen âge !!!
Eux seront bien au chaud dans leur salon en pleine ville et ils iront promener en campagne au volant de leur 4×4 ELECTRIQUE !!!
Quand aux locaux ils devront se démerder avec les renards, loups, chacals dorés … mais attention il faudra les respecter ces petites bêtes protégées !!!
Nos élus ne sont plus à la hauteur mais ils s’accrochent à leur postes vu le salaire et les avantages !
L’Europe et son dicta c’est un rouleau compresseur pour nos traditions,
Pauvre France,
En France, ce sont les minorités qui commandent, dans la rue, en « écologie punitive »,… et ces minorités ne savent même pas de quoi elles parlent puisqu’elles ne demandent qu’une seule chose qu’on les écoute et que tous, nous allions satisfaire à leurs demandes! A quand la responsabilisation de ces intervenants? Qui parmi eux donnera un peu de son salaire (ou des ses allocs, ou de l’argent des parents) pour aider les éleveurs? qui entretiendra demain les alpages? qui sera là demain après le premier « accident » sur un humain?…
La prochaine fois foutez-moi ces emmerdeurs dehors.
C’est la mode du DICTATEUR, tu es d’accord avec moi ou on t’interdit de contredire, on investi les locaux des « opposants » éleveurs pour qui les troupeaux sont décimés par les loups. Aucun respect des autres, la frange extrême gauche (LFI DUPES dont les verts foncés urbains de salon) participent à instaurer le chaos partout en France pour tous sujets sur les quels ils ne sont pas d’accord.