Les chats constituent un véritable problème d’état en Australie car cette espèce, considérée comme envahissante puisque la grande majorité d’entre eux ne sont pas domestiques mais sont revenus à lé vie sauvage.
Ce retour à la vie en pleine nature n’est pas sans conséquence car ces petits chasseurs font d’énormes dégâts sur les populations d’animaux indigènes.
La présence de quelques chats sauvages ne poserait pas de problèmes mais ils seraient plus de 6 millions d’individus à parcourir le territoire australien. Les autorités australiennes considèrent que ces chats sont à l’origine de l’extinction de près de 30 espèces locales depuis leur arrivée et qu’ils menacent encore plus de 100 d’entre elles si rien n’est fait.
Un plan a donc été établi en Australie Occidentale pour faire baisser le nombre de chats de manière considérable sur les 5 prochaines années et en employant les grands moyens, qui paraîtront certainement inadmissibles pour les amoureux de félins.
Parmi ces moyens, des « robots tueurs de chats » vont être mis en service dans les prochains mois.
Ces robots se présentent sous une forme similaire aux radars routiers comme l’explique Radio France Internationale, à l’origine de cette information.
Le robot est capable de distinguer si l’animal qui passe devant lui est un chat à l’aide d’une caméra et lorsque c’est le cas, il arrose ce dernier d’un gel toxique qui finira par empoisonner le félin.
L’administration espère pouvoir endiguer la prolifération des chats de manière efficace en ajoutant ces robots à son arsenal qui ne manquera certainement pas de faire réagir largement dans les médias internationaux et sur les réseaux sociaux.
2 réflexions sur « Des robots tueurs de chats vont être mis en place en Australie »
Le chasseur peut donc avec de la technologie être remplacé par un robot : une expérience à retenir et à s’interroger sur le problème des dégâts de gibier en Europe !!! A ce jour donc c’est seulement le portefeuille du chasseur qui est irremplaçable : à méditer pour préparer la suite dans les années à venir
Si dans un pays comme le nôtre une telle action semble impossible pour les chats le rôle de régulation de la chasse pourrait être posé avec l’idée première de diminuer une fois de plus le nombre de chasseurs .
Confier la mort à un robot est certainement pour certains une porte de sortie autant hypocrite que les abattoirs loin des villes et la viande pré découpée dans les barquettes
Sa s’appelle rester maître chez soit …pas de chance que Bruxelles leurs tire les oreilles ! au Canada c’est pareil pour d’autres problèmes ils sont maîtres chez eux …!