Face à la recrudescence des attaques de grands prédateurs sur les troupeaux, l’État a enfin autorisé un certain nombre de mesures permettant aux éleveurs de se défendre. Dans le Lot, la préfecture a autorisé des tirs de défense mais lorsqu’un prédateur se montre trop agressif, il faut parfois passer à des mesures plus sévères.
Samedi dernier, en pleine nuit, un loup s’est montré particulièrement menaçant autour d’un troupeau de brebis situé sur le territoire de la commune de Quissac.
L’attaque du loup semblait imminente et les lieutenants de louveterie présents pour défendre le troupeau n’ont eu d’autre choix que d’abattre le grand canidé aux alentours de 2 heures du matin.
Les agents de l’Office Français de la Biodiversité ont été informés de l’action menée durant la nuit et se sont rendus sur place pour procéder aux constatations d’usage. La carcasse du loup a été enlevée par leurs soins et des analyses vont être menées pour définir le profil génétique de l’animal.
6 réflexions sur « Lot : un loup qui menaçait un troupeau de brebis a été abattu »
depuis 1992 tous les gouvernements -de droite ou de gauche- baissent leur froc devant les caprices
des Verts …et çà marche ! on invente des mesures pour les éleveurs, mais c’est des soins palliatifs en attendant qu’ils disparaissent : c’est le rêve des écolos : la montagne débarrassée des intrus : les paysans-éleveurs, les bucherons et le touristes ! bref une montagne morte !
Bravo aux lieutenants de louveterie d’avoir abattue ce super prédateur pour le bien du troupeau
Il va falloir revoir le statut du loup sérieusement
Il n’y a que ceux qui ne veulent pas voir la réalité et les extrémistes écologistes qui défendent encore le loup.
1000 loups ? 2000 loups ? le problème c’est que le loup n’a aucun prédateur au dessus de lui qui puisse réguler la prolifération de l’espèce ……. sauf l’homme !
d’autre part la convention de Berne est caduque : le loup n’est plus en France (et dans le monde) une espèce en voie de disparition ;
le pastoralisme, lui, est menacé de disparition !
Oui, encore une idée,ouïe imbécile de gens qui ne connaissent la nature que dans les cafés branchés du quartier latin et les ministères.
Il est temps qu’on prenne notre destin en mains.
L’animal dominant abattu sera remplacé par un autre mais enfin c’est une avancée psychologique . Le reste de la meute ne va pas devenir herbivore !!!
Quoi que devant cette tendance à consommer des protéines végétales le canis lupus va peut-être se laisser convaincre ? Le chat broutera de l’herbe et bientôt les légumes vont pousser dans des gratte-ciel !!
Dans un monde plus réaliste il aurait fallu abattre la meute entière tout en gardant l’espèce en bon état de conservation pour ne pas renouveler les erreurs du passé .
Au départ le quota national avait été fixé à 500 individus et aujourd’hui la réalité est à 1000 pour certains et 2000 pour les autres .