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A bientot
 

Un serval récupéré par l’OFB dans un jardin à Montpellier

Le serval, ce grand félin devenu tendance parmi les animaux de compagnie, fait fureur sur les réseaux sociaux. Sauf qu’il ne s’agit pas du tout d’un animal de compagnie et il est strictement interdit d’en posséder un en France sans les autorisations adéquates.


Depuis plusieurs années, les autorités luttent contre les filières clandestines qui reproduisent le serval pour le vendre comme un animal domestique. Généralement, tant que le félin n’est pas adulte les choses se passent bien, mais une fois grand, le serval peut retrouver en partie son instinct sauvage et se montrer agressif.

Dernièrement, un serval a été découvert sur le terrain d’un particulier vivant à Montpellier. Le propriétaire des lieux s’est rendu dans son jardin et a aperçu un grand félin prostré dans la végétation, certainement effrayé par son chien.


L’homme a donc appelé les pompiers qui ont eux-mêmes appelés les agents de l’Office Français de la Biodiversité pour intervenir sur place.

Personne ne sait pour le moment si l’animal était laissé en divagation comme le font les propriétaires de chats indélicats ou si le serval s’est échappé.

Aucune demande n’a été reçue pour récupérer l’animal suite à cette découverte, ce qui laisse supposer que le serval était détenu illégalement.

Le félin a été capturé et transféré au zoo de Lunaret.

Le saviez-vous ?  Un robot anti-braconnier

8 réflexions sur « Un serval récupéré par l’OFB dans un jardin à Montpellier »

  1. Autrefois, les vautours trouvaient leur nourriture facilement sur leur aire de répartition et se nourrissaient de carcasses d’ovins, de caprins ou de bovins. Mais c’était une époque fabuleuse où les déchets d’équarrissage étaient laissés à la Nature qui se chargeait toute seule de faire son travail de recyclage, si bien que les animaux sauvages et l’homme y trouvaient leur compte. Le vautour était en somme un nettoyeur comme l’est aujourd’hui l’éboueur de nos rues ou de nos villes. Désormais, les sociétés d’équarrissage récoltent les cadavres d’animaux dans les abattoirs et les élevages pour les amener vers les usines où il sont transformés en engrais organiques. Il est bien difficile pour les vautours (et autres animaux) de trouver leur nourriture dans un monde que les écolos veulent aseptisé et plus vert que vert. L’époque fabuleuse où il n’y avait pas les innombrables interdits d’aujourd’hui est révolue. Beaucoup de ces interdits, nous les devons à l’intégrisme écologique qui pollue les pensées et brime les libertés. Aujourd’hui, tu ne peux plus faire un barbecue dans ton jardin , tu dois amener la tonte de pelouse à la déchèterie, tu dois mettre un sapin de Noël artificiel, tu dois rouler à 30 km/h partout en ville même si c’est absurde, tu ne dois plus fumer à l’air libre dans certains parcs, laisser ton vieux diesel au garage ou le mettre à la casse, tu ne dois pas uriner contre un arbre ou faire ton besoin derrière un buisson, tu ne dois plus pêcher sur certaines rivières pour préserver ses berges et tu dois payer tes impôts pour sauver le climat.
    Demain, les Droits de l’Homme, déjà sérieusement menacés, seront confisqués au nom des Droits de l’Animal et de la Nature.
    Mais les vautours qui ont perdu toute « collaboration » avec l’Homme doivent se débrouiller pour trouver la nourriture à suffisance, hors des charniers artificiels. Est-il donc raisonnable, dans ces conditions, de lâcher des animaux sauvages comme les vautours, les ours ou les loups ?
    Les déséquilibres Homme-Animal-Nature ne sont pas seulement liés à l’évolution des sociétés humaines mais pour beaucoup aux approximations, aux erreurs et aux interdits d’une écologie punitive et radicalisée, érigée en véritable religion.

    1. D’accord avec vous sur la quasi intégralité du commentaire
      Cependant, il serait bon de préciser que le vautour fauve a été réintroduit suite à son éradication de France, on trouve de belles photos de l’époque (noir et blanc) avec des dizaines de vautours morts présentés par des chasseurs qui trônent de chaque côté… Et en ce temps là les normes sanitaires n’étaient pas celles d’aujourd’hui, on avait besoin des vautours pour se débarrasser des carcasses

      J’insiste, la réintroduction du vautour fauve n’est pas une erreur et la présence de cet oiseau n’a rien à voir avec celle d’un prédateur comme le loup qui lui cause effectivement de nombreux problèmes aux éleveurs

  2. Mon dieu à quand un illuminé qui capturera un loup et quelques marcassins accompagnés d’un ou deux lynx pour les mettre à l’abri dans son verger?
    J’espère que la sanction sera à la hauteur. j’imagine qu’il s’agit là encore d’un bobo écolo qui a essayé de protèger l’animal des méchants chasseurs jugés comme des prédateurs.

  3. @Nomamba
    Bonjour,
    27 avril 2017, Lesparrou, en Ariège : les vautours attaquent une vache en train de vêler et le 30 avril de la même année à Cieutat, Hautes-Pyrénées, un éleveur n’a pas le temps de chercher de l’aide pour sauver la mère et le veau. Il ne trouve à son retour que la peau et les os. Désolé, si je n’ai pas plus récent mais le vautour n’a pas en si peu de temps modifié son comportement
    Si ces oiseaux nécrophages peuvent s’en prendre à des animaux vivants, il et vrai que c’est assez rare et que les attaques portent uniquement sur des animaux vulnérables ou en difficulté.
    La vraie question est l’installation de charniers pour les nourrir. Les enclos grillagés sont remplis de carcasses blanchies au soleil et les bonnes intentions ont vite fait flop face aux difficultés de nourrissage. Il est vrai que la grande majorité des écolos ne sont pas des gens de terrain mais des bureaucrates ou des rêveurs. Laissez donc ces oiseaux, contre lesquels je n’ai aucune animosité, chercher eux-mêmes leur pitance. Et faites attention aux loups que vous avez réintroduits et qui, n’ayant rien à se mettre sous la dent, pourraient malheureusement vous manger lors d’une randonnée solitaire en forêt.
    Bien cordialement,

    1. Ne vous en faites pas, 2017 ça reste assez récent et n’enlève pas de pertinence au cas..
      Ce sont des choses qui arrivent mais c’est loin d’être une généralité.
      En revanche, je n’a rien à voir avec la réintroduction du loup, et je ne me considère pas comme un écolo, j’ai d’ailleurs tendance à trouver une grande partie de leurs actions trop radicales..
      Et pour ce qui est du terrain j’en bouffe à longueur de semaine..

  4. Peut-être un animal lâché volontairement dans la nature par quelque irresponsable.
    Pour mémoire, les écolos ont lâché bien volontairement et en très grand nombre, des vautours dans le Sud de la France (Lozère, Aveyron, Gard, Aude, Hérault…). Ces oiseaux qui n’ont leur place qu’en Afrique ou Amérique du Sud, volent par bandes de 50 individus, parfois plus, et cherchent à se nourrir. Les écolos, au début de leur « expérience », ont réalisé des enclos grillagés en pleine nature, loin des axes routiers et des chemins, et ils y ont apporté des carcasses de bovins et ovins. Cela a été de courte durée : trop de travail pour récolter la nourriture dans les abattoirs, la transporter sur place dans des lieux difficile d’accès, la distribuer. Et surtout faire ce travail régulièrement, comme on nourrit son animal domestique, tous les jours à heure fixe. Résultat des courses: les vautours qui ne trouvent rien à bouffer s’attaquent aux très jeunes agneaux et autres proies d’élevage. Les enclos sont laissés à l’abandon et les carcasses ne sont plus que des os blanchis par le soleil. On se demande si les écolos ne vont pas faire l’expérience de chimpanzés ou de gorilles dans la forêt des landes. Ces gens-là sont des détraqués qui ne sauveront pas la nature et le vivant, mais contribueront à les détruire tout en donnant des leçons de morale et d’écologie.

    1. Bonjour,
      Je trouve votre commentaire ridicule et discréditant pour vous-même en ce qui concerne les vautours.
      En effet ce dont vous parlez concerne le vautour fauve, une espèce qui a bel et bien sa place dans les écosystèmes français, mais qui avait été éradiquée. Car les charognard ont toujours eu mauvaise réputation.
      Cette espèce a été réintroduite de manière encadrée.
      Les vautours affamés peuvent s’attaquer à des animaux en vie mais cela reste rare et marginal.
      Bref, je ne vois pas comment le sujet d’un serval errant peu amener à déblatérer de telles inepties, et faire passer par la même occasion les chasseurs pour des ignorants.
      Bonne journée

    2. fort heureusement personne ne lâche d’écolos.
      Moi j’ai essayé de libèrer des nains de jardin pour les mettre dans les bois de ma comune afin qu’ils retrouvent blanche neige.
      J’avais 6 ans ……

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