C’est une mesure radicale qui a été prise par la préfecture du Cher depuis plus d’une semaine et qui commence à faire grincer des dents sur les réseaux sociaux. Le département du Loir-et-Cher avait pris lui aussi un arrêté sur le tir du sanglier jusque fin mai même s’il n’était pas encore question de tirs de nuits.
Dans un communiqué du 30 mars dernier, la préfecture annonce des mesures utilisées pour maintenir une forte pression sur le sanglier, même hors période de chasse, pour éviter que les dégâts occasionnés par ces derniers ne soient trop importants sur les terres agricoles.
Par conséquent, jusqu’à la fin du mois de mai, des autorisations de tirs de destruction seront délivrées pour les particuliers qui souhaitent réguler le sanglier en journée. Les lieutenants de louveterie auront des autorisations également pour des tirs de destruction en journée mais aussi la nuit. Des mesures d’effarouchement pourront aussi être mises en place dans le but d’éviter les dégâts de suidés sur les parcelles cultivées.
Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’arrêté en cliquant ici.