Les agents de L’UAB espagnole ont pratiqué une analyse préliminaire de la dépouille de l’ours Cachou, mort la semaine dernière dans le Val d’Aran.
C‘est à Barcelone que les experts ont procédé aux premières analyses de Cachou. L’animal présenterait de larges plaies perforantes « ante mortem », c’est-à-dire réalisées avant la mort de l’animal. Au vue de la dimension des plaies, les experts pensent que seul un autre ours a pu le lui faire. Selon cette hypothèse, Cachou se serait donc battu avec un autre ours en haut de la falaise et aurait alors fait une chute mortelle de 40m.
D’autres analyses semblent indiquer qu’aucune « lésion microscopique et aucun organe vital n’était altéré », ce qui ne va pas non plus dans le sens d’un empoissonnement, théorie que de nombreuses associations pro ours avancent.
D’autres analyses doivent être malgré tout pratiquées, mais la crise du Covid19 saturant les laboratoires va très certainement retarder les résultats.
Une réflexion sur « Mort de l’ours Cachou, une première hypothèse est avancée »
Je vous le donne en mille…arguments des « pro ours » et de toute leure clique : empoisonnée par des vilains chasseurs.