Alerte info : peine de prison avec sursis en cas de non-réalisation de plan de chasse sanglier

Tombée ce matin à la première heure, l’info fait froid dans le dos et risque de polémiquer longtemps.

Face à la prolifération devenue quasiment incontrôlable du sanglier, au vu du risque d’épizootie de peste porcine africaine qui est comme une épée de Damoclès au-dessus du million de chasseurs français, mais surtout de toute la filière porcine, l’état vient de prendre une décision jamais vue de mémoire de chasseur.

Une réunion secrète entre la FNSEA, le ministère de la transition écologique et du développement durable ainsi que la garde des sceaux a eu lieu ce dimanche, en marge du salon de Mantes-la-Jolie SANS la présence des chasseurs pour autant.

De source sûre, mais non officielle, un arrêté serait déjà rédigé afin de sanctionner les présidents de sociétés de chasse à des peines de prison avec sursis en cas de non-réalisation de plan de chasse.

Nous ne connaissons pas « la durée » de cette peine, mais il semblerait qu’elle soit de 3 mois. En clair, à l’issue de la saison de chasse 2019/2020 les sociétés devront présenter l’ensemble de leur prélèvement selon un protocole qui reste à définir. En cas de non-réalisation, des sanctions tomberont.

Afin de ne pas tromper les services de l’État dans la comptabilisation des animaux, il serait demandé à chaque président (ou personne compétente au sein des sociétés) de réaliser des selfies avec les sangliers morts.

Nous tâcherons d’en savoir rapidement plus sur cette mesure dramatique et liberticide. Par ailleurs pendant que nous étions en train d’écrire cet article, nous avons reçu un appel de la fédération de pêche qui aurait eu vent d’un principe similaire appliqué  à certains poissons qui polluent nos étangs et nos cours d’eaux, les trucs arc-en ciel par exemple…