À chaque aéroport son problème. À Roissy Charles de Gaulles se sont les lapins, au Liban se sont les mouettes…
Photo : l’orientlejour
Il existe à côté de l’aéroport international de Beyrouth une immense décharge (voir photo) en bord de mer. Conséquence directe : des millions de mouettes survolent cette zone chaque jour et génèrent un risque important pour le trafic aérien.
Face au risque d’accident encouru, les autorités portuaires ont décidé de faire appel aux chasseurs afin de réduire les populations de mouettes.
Nul doute que les tirs de destruction ne sont qu’une solution temporaire, et qu’à terme il leur faudra trouver une autre solution. Le ministre de l’Environnement a tout de même pris le soin de préciser «Entre la vie des passagers et celle des oiseaux, personne ne choisira les oiseaux ». Pas sûr que Ségolène Royal eut utilisé les mêmes mots !