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A bientot
 

Ouverture de la chasse en plaine décalée dans la Somme à cause du réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est à l’origine de bien des changements dans tout ce qui se passe concernant la biodiversité. La chasse n’y échappe pas et dans la Somme, les chasseurs ont décidé de décaler l’ouverture de la chasse en plaine de 15 jours.

L’ouverture décalée au 29 septembre pour le lièvre, le faisan et la perdrix.

La chasse du petit gibier est une chasse délicate, dont l’équilibre ne dépend plus aujourd’hui que de l’investissement des chasseurs eux-mêmes et du temps qu’ils consacrent à s’assurer de la présence de quelques populations, même très éparses de ces petits animaux.

Le lièvre, la perdrix et le faisan font partie de ces gibiers très appréciés des chasseurs de petit gibier même s’il ne faut pas pour autant mettre de côté la caille, le pigeon, le lapin et bien d’autres.

Afin de s’assurer que la période de reproduction sera arrivée totalement à son terme et que les plus jeunes animaux seront capables de s’assumer seuls, les chasseurs ont pris la décision de décaler l’ouverture de la chasse en plaine.

Une décision difficile à prendre quand on connaît l’engouement des nemrods pour cette chasse et l’attente qui réside autour des dates d’ouverture.

Certains seront assurément déçus de devoir patienter 15 jours de plus que les autres pour retrouver le chemin de la plaine mais les chasseurs de la Somme sont majoritairement d’accord avec cette décision.

Le réchauffement climatique en cause.

D’années en années, le réchauffement climatique impacte de plus en plus les cycles de reproduction du petit gibier mais permet également aux prédateurs de se développer sans craindre les températures hivernales d’antan.

Les corbeaux, renards, pies et autres mustélidés sont bien sur concernés mais l’invasion des sangliers dans les plaines Françaises sont aussi pointés du doigt.

Les suidés sont des gloutons opportunistes et s’ils peuvent ajouter quelques protéines à leur régime au détriment du petit gibier, ces derniers ne vont pas s’en priver.

Décaler les dates d’ouverture ne suffit donc pas et les chasseurs doivent encore une fois faire l’effort de se mobiliser pour réguler les espèces qui mettent en péril la bonne santé des populations de petit gibier pour s’assurer que les nouvelles générations seront aptes à faire remonter le nombre d’individus présents sur les territoires.

Les chasseurs de la Somme ont déjà pris le même type de décision par le passé quand des intempéries avaient fortement secoué le département et mis en péril une grande partie de la reproduction annuelle. L’ouverture de la chasse en plaine avait déjà été reportée de 15 jours.

[Vidéo] Chasses traditionnelles : « on ne peut pas perdre un pan de notre culture sans réaction »

Le combat continue pour les chasseurs du Sud-Ouest qui voient encore une fois les chasses traditionnelles trainées devant le Conseil d’État par les associations anti-chasse habituelles.

Les chasseurs pratiquant la chasse aux pantes ou à la matole se sont pliés a de nombreuses exigences du gouvernement et ont même mené des études en partenariat avec l’Office Français de la Biodiversité avant de pouvoir espérer reprendre leurs activités.

Pourtant, le rapporteur public a s’est prononcé en faveur de l’interdiction de ces modes de chasse, ce qui a immédiatement provoqué la colère de nombreux nemrods.

Si les chasseurs du Sud-Ouest restent solidaires dans la défense de cette pratique, il y a fort à parier qu’en cas de nouvelle interdiction annoncée par le Conseil d’État, les chasseurs de toute la France se décident à manifester leur mécontentement.

Petit à petit, les anti-chasse s’attaque aux différentes pratiques cynégétiques et les chasseurs ne sont pas aveugles. Hier, c’est malheureusement la chasse à la glu qui a été sacrifiée, aujourd’hui ils veulent la chasse aux pantes et à la matole, mais demain? La chasse de la palombe? Le gabion?

Comme l’affirme le Président de la Fédération des chasseurs des Landes lors de son passage devant les caméras de France 3 Nouvelle-Aquitaine, « On ne peut pas aujourd’hui perdre un pan de notre culture sans réaction. »

Près de 50 000 truites s’échappent en Côte-d’Or suite à une crue éclair

C’est une catastrophe pour la pisciculture de la Fédération de pêche mais une aubaine pour certains pêcheurs peu respectueux des règles…

En Côte-d’Or, une crue rapide a fait monter les eaux à proximité de la pisciculture de la Fédération de pêche ce qui a permis à près de 50 000 truites de s’évader et de filer dans les eaux sauvages du département.

Les agents de la Fédération de pêche sont forcément dépités par cette situation et la perte de la majorité des individus qui peuplaient la pisciculture.

Mais comme souvent, le malheur des uns fait le bonheur des autres et l’évasion de 50 000 truites n’a pas manqué d’attiser les convoitises.

De nombreux pêcheurs se sont rués sur les berges des cours d’eau environnants pour essayer de pêcher quelques unes de ces truites en cavale.

A lire aussi : Les animalistes s’attaquent aux pêcheurs et aux lâchers de truites

Si certains se cantonnent à atteindre les quotas, limités à 6 truites par jour et par pêcheurs, d’autres semblent ne pas avoir du tout suivi les règles et ont franchement abusé de la situation.

Les caméras de TF1 ont suivi l’affaire et les contrôles importants menés par les agents de la Fédération de pêche qui ont eu vent de ces abus.

La Poste se positionne en faveur de la protection du renard à travers une édition de timbres collector

Tandis que les ruraux font le nécessaire sur le terrain pour gérer au mieux l’environnement dans lequel ils vivent, certaines entreprises balayent tout d’un revers de la main dans le seul et unique but de servir leurs objectifs financiers. La Poste semble faire partie de celles-ci car un collector de timbres à l’effigie du renard et faisant la promotion de la protection totale de l’espèce sera vendue dès le mois de juin.

La philatélie instrumentalisée.

Dernièrement, La Poste a fait la promotion d’un nouveau collector de 4 timbres dédiés au renard. Si l’utilisation du goupil pour illustrer les timbres qui seront surement très attendus par les collectionneurs n’est pas nouveau, c’est plutôt le message que ce dernier véhicule qui a fait bondir quelques ruraux.

Les illustrations sont très réussies et les chasseurs comme les piégeurs n’auraient assurément pas manqué d’utiliser ces timbres pour leurs prochaines correspondances si ce collector n’avait pas été instrumentalisé par l’idéologie animaliste.

En effet, le collector s’accompagne d’un petit texte, rédigé par Michel Chardin, un photographe animalier dont le talent n’est plus à démontrer mais qui a une vision du renard certainement un peu trop idyllique :

« Longtemps considéré comme un animal nuisible, le renard (Vulpes vulpes), aujourd’hui classé dans la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD), paie très cher une réputation injustifiée. Toujours proche de nous à la ville comme à la campagne, il est opportuniste et joue un rôle majeur dans la biodiversité.

Parfois charognard, il élimine les petits animaux malades et évite beaucoup d’épidémies. Fort utile à l’agriculture, il consomme plus de six mille micromammifères (carnivores, rongeurs, insectivores, etc.) par an et concurrence ainsi très largement et naturellement les épandages de produits chimiques tels que la bromadiolone.

Vous l’aurez compris, le renard est notre allié et nous nous devons de le protéger.« 

Un avis plus que controversé.

Ce plaidoyer en faveur du renard ne va certainement pas rassembler les foules mais va beaucoup plaire aux animalistes de tous poils. Certes, le renard consomme de petits animaux mais pas uniquement. Il cause de nombreux dégâts dans les élevages et dans les basses-cours, sans compter sur le fait qu’il véhicule plusieurs maladies transmissibles à l’homme comme l’échinococcose alvéolaire.

De plus, le renard prolifère actuellement dans de nombreux départements Français. Protéger l’espèce aujourd’hui n’aurait donc pour effet que de déstabiliser l’équilibre si fragile qui existe actuellement dans nos territoires.

Le renard est sur la liste des espèces classées ESOD et ce n’est pas pour rien, mais dans le but de vendre un maximum de timbres dans cette édition collector, La Poste a manifestement décidé de laisser passer ce discours en faveur d’une protection totale de l’espèce.

A quand une série de timbres collector à l’effigie des chevaux pour interdire l’équitation ou à l’effigie de la truite pour interdire la pêche?

[Vidéo] Une chèvre défend son petit face à un sanglier

Nombreuses sont les vidéos ou l’ont voit des sangliers se nourrir de toutes sortes de proies. Si souvent il s’agît de charognes, comme dans cette vidéo ou un sanglier est surpris en train de dévorer un chat, il arrive aussi que les sangliers chassent des animaux vivants.

Dans cette nouvelle vidéo, on peut voir un sanglier désireux de varier son régime alimentaire en s’attaquant à un chevreau.

Si le chevreau ne fait pas le poids face à l’imposant suidé, c’est en revanche sans compter sur l’instinct maternel de sa mère.

Malgré un déficit de poids avec lequel elle doit elle aussi composer, la chèvre ne va pas hésiter à charger le sanglier pour défendre sa progéniture au péril de sa vie.

[Vidéo] Voilà pourquoi il est important de tenir son chien en laisse en cette période

La semaine dernière, l’obligation de tenir son chien en laisse faisait réagir de nombreux internautes ainsi que des journalistes sur les plateaux de télévision.

Cette règle qui s’applique pourtant chaque année à partir du 15 avril en forêt devrait même être rendue obligatoire partout dans la nature car certains animaux ont déjà bien entamé leur période de reproduction.

Le réchauffement climatique a tendance à rendre de plus en plus précoce les périodes de reproduction de certaines espèces qui suivent également le développement de la végétation ou les changements de température.

L’agriculture s’adapte et toute la biodiversité aussi, ce qui fait que l’on observe déjà depuis quelques semaines l’apparition de très jeunes animaux comme cette couvée de faisans gitée dans un champ.

@the_birds_channel

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Silure : un monstre de 2,25m sorti du Tarn par un jeune pêcheur!

Ce mardi 09 avril, un jeune pêcheur a sorti un silure impressionnant depuis les bords du Tarn. Après un combat qui aura duré plus d’une demi-heure avec l’aide de son cousin, le jeune homme a pu prendre quelques photos de sa prise avant de le remettre à l’eau.

Une sacrée prise pour un jeune pêcheur.

Il fait l’objet de plusieurs articles dans les médias locaux et on comprend pourquoi. Lucas, jeune pêcheur de carnassiers de 14 ans a sorti un véritable monstre des eaux du Tarn.

Lors d’une partie de pêche avec son cousin sur la commune de Villemade dans le Tarn-et-Garonne, il sent tout de suite qu’un très gros poisson a mordu lorsqu’il tenait sa canne en main.

Le combat commence et le poisson est si vigoureux qu’il se relaye avec son cousin pour pouvoir lutter contre l’imposant silure.

Après environ 35 minutes de bataille acharnée, le poisson est enfin remonté sur la berge. La prise des mensurations révèlera que le spécimen mesure pas moins de 2,25 mètres et pèse près de 100kg, une très belle prise pour ce jeune pêcheur!

Le Tarn, des eaux propices aux belles prises.

Ce n’est pas la première fois qu’un pêcheur sort une telle bête des eaux du Tarn. Déjà en début d’année, un autre silure de 2m40 avait été pêché un peu plus au sud vers Montauban.

Pendant quelques années, le Tarn a été un spot privilégié pour les passionnés du silure qui y ont trouvé quelques-uns des plus gros spécimens du monde et ou un silure de 2m74 a déjà été pêché, faisant par la même occasion passé le pêcheur qui a réalisé cette prise Jean-Christophe Conéjéro le recordman de France.

Certes, avec 2m25, Lucas a encore de la marge avant d’aller chatouiller le record du monde qui a été réalisé par Alessandro Biancardi sur le fleuve Pô en Italie mais la présence de tels spécimens dans le Tarn promet encore de beaux jours de pêche pour les passionnés du carnassier.

[Vidéo] Comme en France, le raton laveur est une espèce considérée comme exotique et envahissante en Belgique

La gestion des espèces exotiques et envahissantes ne concerne pas que notre pays et plusieurs de nos voisins emploient souvent les mêmes réglementations que nous en la matière.

Pour ce qui est du raton laveur, si ce dernier est encore assez observé de façon assez disparate sur l’ensemble du territoire Français, il commence à pointer un peu plus le bout de son nez en Belgique depuis quelques temps.

A lire aussi : [Vidéo] Une mère défend sa fille qui se fait mordre par un raton laveur

Les piégeurs Belges sont donc très impliqués dans la capture de cet animal qui peut déstabiliser assez rapidement l’écosystème local et même se montrer agressif envers les êtres humains.

La télévision locale Matélé a réalisé une vidéo sur le sujet en interrogeant l’un des piégeurs en charge des captures qui explique tout ce qu’implique la présence du raton laveur sur un territoire.

Un éleveur attaqué en justice par une randonneuse mordue par des patous a été relaxé

En ce début de semaine, une affaire qui ne sera certainement pas la dernière du genre a été jugée par le tribunal correctionnel de Nice. Une randonneuse avait attaqué en justice un éleveur dont les patous l’avaient attaqué alors qu’elle était en randonnée sur la commune de Saint-Etienne-de-Tinée. L’homme a finalement été relaxé par le tribunal.

Une affaire datant du mois de juillet.

C’est le 25 juillet dernier qu’une septuagénaire s’est rendue sur le secteur de Saint-Etienne-de-Tinée avec un groupe de randonneurs en plein cœur du parc du Mercantour.

Voyant arriver au loin le groupe de randonneurs, l’éleveur prend les devants et fait remonter son troupeau un peu plus haut que le passage emprunté par les marcheurs avec ses patous.

Malheureusement, la septuagénaire décide de s’écarter de son groupe avant que l’homme n’ait pu éloigner ses chiens et l’un des patous est allé à la rencontre de la randonneuse.

Intrigués par la présence de ce qu’ils pensent être une menace potentielle, les patous se rassemblent autour d’elle et vont attaquer.

A lire aussi : Des randonneurs attaqués par des patous en Ariège : « on se voyait déchiquetés »

Elle est alors sérieusement blessée au niveau des bras et des jambes mais l’éleveur arrive rapidement sur place et fait partir ses chiens avant de porter secours à la femme.

Il contacte le PGHM qui fait intervenir rapidement un hélicoptère qui évacuera la randonneuse imprudente vers l’hôpital le plus proche.

La randonneuse porte plainte et réclame des indemnités conséquentes.

Si l’accident a bien eu lieu et que l’éleveur a vite réagit pour porter secours à la randonneuse isolée, cette dernière a eu d’autres idées pour la suite des évènements.

Dans les médias locaux, on explique qu’il n’y a pas d’animosité entre les parties mais la septuagénaire estime qu’elle doit toucher une forte somme suite à l’accident dans lequel les chiens de l’éleveur sont impliqués.

Ces derniers n’ont pourtant fait que leur travail et l’éleveur ne comprend pas pourquoi on l’a trainé devant un tribunal.

Son avocat va fournir toutes les preuves du respect des consignes de son client qui a bien disposé les panneaux avertissant de la présence des patous ainsi que la lettre du préfet qui lui demande de façon claire et précise de se doter de chiens de protection.

Finalement, constatant que l’éleveur avait tout fait dans les règles, contrairement à la randonneuse qui s’est isolée du reste de son groupe, le tribunal a relaxé l’éleveur qui ne pouvait pas être considéré comme pénalement responsable.

[Vidéo] Un agriculteur filme des sangliers dans une parcelle de colza juste sous son nez

Les sangliers sont un vrai problème pour les agriculteurs qui voient désormais débarquer les suidés en toutes saisons et dans toutes les cultures.

Cette fois, c’est dans une parcelle de colza déjà bien abîmée par les intempéries qu’un agriculteur va filmer une compagnie qui se promène juste devant lui et continue de fouiller dans les cultures.

Les sangliers ont le dos jaune à force d’avoir trainé dans le colza et si les images peuvent faire sourire, on imagine bien que l’exploitant ne s’amuse pas du tout devant ce spectacle.

Les sangliers ne semblent même pas s’affoler de la présence de l’engin et continuent leurs petites affaires tandis que l’agriculteur filme en expliquant la situation.

Il faudra que ce dernier quitte son automoteur pour poursuivre les suidés avant qu’ils ne se décident à partir.

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