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A bientot
 

[Vidéo] Des chevreuils traversent devant des chiens de traineau en pleine sortie

Chose surprenante pour ceux qui ne côtoient pas régulièrement les campagnes Françaises mais il arrive que l’on croise parfois des mushers qui s’offrent une sortie avec leurs chiens de traineau.

Il n’y a pas que dans les étendues de glaces que l’on peut croiser ces attelages canins qui favorisent des sorties agréables pour les chiens et ou ils peuvent partager leur passion avec leurs compagnons.

A lire aussi : [Vidéo] Rappel : pourquoi les chevreuils peuvent devenir étranges au printemps et comment réagir?

Dans cette vidéo, des passionnés de chiens de traineaux font une sortie de nuit pour éviter la chaleur de la journée.

Pendant leur passage dans la plaine, des chevreuils croisent leur chemin, visiblement surpris de croiser un tel attelage à cette heure tardive.

Malgré quelques chevreuils qui vont s’approcher dangereusement, les chiens vont garder le cap et aucune chute ne sera à déplorer du côté des sportifs.

@leshuskysenvadrouille Alors celle là je m’y attendais pas! On voit souvent nos amis les chevreuils, d’habitude ils n’ont pas peur de nous et restent dans le champ, mais cette fois ci, ils ont paniqué et j’avoue que moi aussi! Quelques minutes avant, un chevreuil m’a traversé juste devant les chiens alors que j’etais loin devant en vtt, j’ai bien cru qu’on allait se le prendre dessus! Comme d’habitude, les chiens sont restés bien concentrés même si c’est tentant 😬 #husky #mushing #sleddogs #canicross #canivtt ♬ son original – Les Huskys en Vadrouille

Un loup tire une petite fille hors de sa tente dans un camping du désert du Néguev

Le loup est un animal que beaucoup d’animalistes décrivent comme craintif mais les accidents se succèdent dans le monde entier. Les troupeaux ont été les premières victimes d’attaques menées par les loups mais dernièrement, c’est une petite fille qui a été ciblée par le grand prédateur dans un camping en Israël.

Une attaque en pleine nuit.

Durant le week-end dernier, en pleine nuit, les parents d’une petite fille de 9 ans ont vécu l’enfer. Installés dans un terrain de camping situé près de Dimona, ils ne s’attendaient pas à se retrouver confrontés aux loups alors qu’ils dormaient dans leur tente.

Un loup a en effet réussi à passer la tête à l’intérieur de la tente et a saisi la fillette de neuf ans encore endormie pour l’emmener avec lui.

Lorsque la petite fille s’est réveillée et a commencé à réagir, le loup l’avait déjà tirée sur plus d’une quinzaine de mètres et l’a relâchée avant de la saisir de nouveau au niveau du bras.

Rapidement, le père a été réveillé par les cris de sa petite fille et s’est rué en direction du loup qui a pris la fuite en voyant l’homme lui courir dessus.

A lire aussi : La grogne continue au sujet du loup dans la campagne Suisse

Effrayée et blessée par la mâchoire puissante du prédateur, la fillette a reçu les premiers soins par le Maguen David Adom avant d’être évacuée vers l’hôpital le plus proche comme le rapporte The Times Of Israël.

Les loups n’ont plus peur de l’homme dans le pays.

En Israël, depuis plusieurs années déjà, les loups n’ont plus vraiment peur de l’homme. Il ne s’agit pas exactement de la même espèce que celle que nous connaissons en Europe car il s’agit d’une sous espèce du loup gris.

Des meutes ont peuplé le désert de Judée et se sont installées un peu partout dans le pays.

Ces loups viennent de plus en plus régulièrement au contact des hommes au point que dans certaines villes, les habitants considèrent qu’ils n’ont clairement plus peur de l’homme.

Depuis 2017, plusieurs attaques sur des humains ont été recensées, essentiellement sur des enfants, voire des bébés.

La nuit ou l’attaque a eu lieu près de Dimona, les loups ont continué à roder autour des tentes jusqu’à la fin de la nuit, ce qui a poussé les autorités à faire évacuer les lieux et à fermer le camping.

Les gardes forestiers sont intervenus et ont ratissé la zone dans le but de débusquer la meute et surtout l’individu responsable de l’attaque qui avait terrorisé les campeurs la nuit précédente mais sans succès.

Les experts expliquent que les contacts répétés entre les loups et les hommes qui parcourent les mêmes territoires auraient rendu les loups moins craintifs. Ces derniers voient aujourd’hui les humains comme les autres espèces, certains individus forts représentent un danger mais des individus plus faibles comme les enfants sont donc des proies potentielles.

Une situation qui pourrait bien se reproduire dans nos contrées dans les années à venir si rien n’est fait vu les contacts incessants entre les meutes et les êtres humains dans certaines régions d’Europe.

Un chevreuil ivre évacué d’une autoroute par les pompiers dans les Ardennes

La saison est propice aux débordements pour les chevreuils qui ont tendance à adopter un comportement étrange en cette saison des bourgeons. Une chevrette a du être évacuée de l’autoroute A34 samedi matin par les pompiers avant qu’elle ne cause un accident.

Une chevrette ivre sur la voir publique.

L’arrivée du printemps et des bourgeons est également synonyme de retour des « chevreuils ivres », ces derniers raffolent des petites pousses et des bourgeons qui pointent avec le retour des beaux jours mais leur gourmandise leur joue parfois des tours.

Leur consommation de bourgeons est parfois déraisonnable au point que par un jeu de fermentation, les petits ruminants se retrouvent passablement alcoolisés, au point de perdre leurs repères et d’adopter un comportement étrange.

C’est ce qui est arrivé à une chevrette observée sur l’autoroute A34 en direction de Sedan.

L’animal était bloqué dans le grillage de l’autoroute et une intervention des pompiers a été nécessaire.

Une intervention peu banale mais sans grande complexité.

Une équipe spécialisée dans le risque animalier des pompiers a été appelée sur place afin d’éviter que la chevrette ne se décide à traverser les voies.

Désorientée par les effets de sa consommation de bourgeons, l’animal aurait pu engendrer un terrible accident sans l’intervention des pompiers.

Les professionnels se sont approchés du grillage ou la chevrette était coincée et ont pu rapidement la prendre en charge pour l’évacuer dans son espace naturel et loin de l’autoroute.

Bien que la procédure oblige les forces de l’ordre à sévir sévèrement contre les conducteurs pris en état d’ivresse sur l’autoroute, la chevrette a pu s’en tirer sans même une contravention!

[Vidéo] A la découverte des courses camarguaises avec les manadiers

Le taureau est un animal incontournable en Camargue et les habitants lui vouent un véritable culte à travers les différents évènements organisés comme les courses camarguaises.

Si on entend souvent parler des corridas qui font souvent débat dans les médias, on parle assez peu des courses camarguaises qui sont pourtant une véritable institution locale.

A lire aussi : [Vidéo] Un cycliste surprend un taureau sur un chemin, sa réaction est immédiate

Dans cette discipline, les taureaux sont de véritables stars et les hommes y sont relégués au second plan. Comme l’expliquent les manadiers suivis durant cette vidéo signée Néo, les gens se déplacent plus pour voir les taureaux en action que les raseteurs.

Finalement, il s’agit plus de sublimer le taureau que de l’affronter, pour offrir un spectacle mémorable aux spectateurs.

Un particulier autorisé à ouvrir un refuge pour deux sangliers en Gironde

A une époque ou le gouvernement ouvre de plus en plus de possibilités aux chasseurs et aux agriculteurs pour réguler le sanglier, l’administration a pris une décision plutôt surprenante. Un particulier a pu ouvrir un refuge à son domicile en vue de protéger deux sangliers dans le Val de l’Eyre en Gironde.

Un refuge pour deux sangliers.

C’est le journal Sud-Ouest qui a mis en avant cette affaire après qu’un arrêté préfectoral soit publié et permette à un particulier de devenir un « refuge » pour les sangliers.

Pour le moment, deux sangliers seront présents sur les terres de cet habitant d’une commune du Val de l’Eyre qui mettra donc à disposition 30 ares de terrain pour les suidés.

Le refuge va donc se retrouver très rapidement à court de place pour accueillir d’autres pensionnaires et on se demande même comment les autorités ont pu valider une telle demande.

Malgré l’autorisation accordée par la préfecture d’ouvrir ce refuge pour sangliers, des contraintes sont tout de même à respecter : interdiction de reproduction, aucune production et aucune possibilité de laisser sortir les sangliers hormis pour leur prodiguer des soins.

Selon les informations obtenues par Sud-Ouest, il a été considéré que « Les surfaces disponibles et les installations pour les sangliers sont suffisantes au maintien en détention des sangliers. Les éléments relatifs aux clôtures du refuge permettent de garantir un isolement durable des animaux vis-à-vis du milieu extérieur. »

Une affaire qui peut créer un précédent.

Il est parfois difficile de comprendre ce que l’administration Française souhaite ou non. D’une part, elle demande aux chasseurs d’intervenir de plus en plus pour réguler le sanglier dont les populations explosent et d’autre part, elle permet à un particulier d’ouvrir un « refuge » qui va accueillir deux sangliers qui seront donc protégés.

A lire aussi : [Vidéo] Reportage sur le piégeage des sangliers en Dordogne

Cette histoire et l’autorisation accordée par l’OFB, la Chambre d’Agriculture et la DDPP pourrait bien créer un précédent qui permettrait à de nombreux animalistes et anti-chasse de faire de même chez eux, empêchant encore davantage les chasseurs de mener à bien leurs missions.

N’importe quel particulier pourra désormais s’appuyer sur cette décision pour justifier d’une demande pour ouvrir un refuge pour quelques sangliers s’il possède un peu de terrain.

Pour autant, tous ne respecteront pas forcément la réglementation en ce qui concerne le confinement des animaux et la nécessité de posséder des clôtures capables d’éviter les évasions.

L’administration et les différents intervenants ont certainement eu de bonnes raisons pour autoriser l’ouverture d’un tel refuge mais il faut s’attendre à voir fleurir des demandes similaires un peu partout en France dans les semaines à venir.

[Vidéo] Un lapin chasse son propre prédateur

Pas le plus en haut de la chaîne alimentaire et repas de choix pour bon nombre de carnivores, Jeannot lapin ne doit souvent sa survie qu’à son courage et à ses ruses.

Hier nous vous partagions l’incroyable vidéo d’une chèvre qui défendait son chevreau face à un sanglier, aujourd’hui c’est un nouvel exemple que la loi du plus fort ne s’applique pas toujours dans la nature.

Vous connaissez l’hermine, ce petit animal d’environ 200 à 300g ne mesurant pas plus de 30cm ? Derrière ce petit mustélidé se cache un véritable prédateur capable de tuer des proies bien plus grandes que lui, comme un lapin.

Dans une vidéo tournée en Écosse il y a quelques jours par une photographe animalier. L’ordre des choses n’est pas tout à fait respecté et le lapin est bien décidé à ne pas se laisser impressionner par une hermine! Au vue de la période il s’agit probablement d’une femelle qui voulait protéger ses petits.

Ouverture de la chasse en plaine décalée dans la Somme à cause du réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est à l’origine de bien des changements dans tout ce qui se passe concernant la biodiversité. La chasse n’y échappe pas et dans la Somme, les chasseurs ont décidé de décaler l’ouverture de la chasse en plaine de 15 jours.

L’ouverture décalée au 29 septembre pour le lièvre, le faisan et la perdrix.

La chasse du petit gibier est une chasse délicate, dont l’équilibre ne dépend plus aujourd’hui que de l’investissement des chasseurs eux-mêmes et du temps qu’ils consacrent à s’assurer de la présence de quelques populations, même très éparses de ces petits animaux.

Le lièvre, la perdrix et le faisan font partie de ces gibiers très appréciés des chasseurs de petit gibier même s’il ne faut pas pour autant mettre de côté la caille, le pigeon, le lapin et bien d’autres.

Afin de s’assurer que la période de reproduction sera arrivée totalement à son terme et que les plus jeunes animaux seront capables de s’assumer seuls, les chasseurs ont pris la décision de décaler l’ouverture de la chasse en plaine.

Une décision difficile à prendre quand on connaît l’engouement des nemrods pour cette chasse et l’attente qui réside autour des dates d’ouverture.

Certains seront assurément déçus de devoir patienter 15 jours de plus que les autres pour retrouver le chemin de la plaine mais les chasseurs de la Somme sont majoritairement d’accord avec cette décision.

Le réchauffement climatique en cause.

D’années en années, le réchauffement climatique impacte de plus en plus les cycles de reproduction du petit gibier mais permet également aux prédateurs de se développer sans craindre les températures hivernales d’antan.

Les corbeaux, renards, pies et autres mustélidés sont bien sur concernés mais l’invasion des sangliers dans les plaines Françaises sont aussi pointés du doigt.

Les suidés sont des gloutons opportunistes et s’ils peuvent ajouter quelques protéines à leur régime au détriment du petit gibier, ces derniers ne vont pas s’en priver.

Décaler les dates d’ouverture ne suffit donc pas et les chasseurs doivent encore une fois faire l’effort de se mobiliser pour réguler les espèces qui mettent en péril la bonne santé des populations de petit gibier pour s’assurer que les nouvelles générations seront aptes à faire remonter le nombre d’individus présents sur les territoires.

Les chasseurs de la Somme ont déjà pris le même type de décision par le passé quand des intempéries avaient fortement secoué le département et mis en péril une grande partie de la reproduction annuelle. L’ouverture de la chasse en plaine avait déjà été reportée de 15 jours.

[Vidéo] Chasses traditionnelles : « on ne peut pas perdre un pan de notre culture sans réaction »

Le combat continue pour les chasseurs du Sud-Ouest qui voient encore une fois les chasses traditionnelles trainées devant le Conseil d’État par les associations anti-chasse habituelles.

Les chasseurs pratiquant la chasse aux pantes ou à la matole se sont pliés a de nombreuses exigences du gouvernement et ont même mené des études en partenariat avec l’Office Français de la Biodiversité avant de pouvoir espérer reprendre leurs activités.

Pourtant, le rapporteur public a s’est prononcé en faveur de l’interdiction de ces modes de chasse, ce qui a immédiatement provoqué la colère de nombreux nemrods.

Si les chasseurs du Sud-Ouest restent solidaires dans la défense de cette pratique, il y a fort à parier qu’en cas de nouvelle interdiction annoncée par le Conseil d’État, les chasseurs de toute la France se décident à manifester leur mécontentement.

Petit à petit, les anti-chasse s’attaque aux différentes pratiques cynégétiques et les chasseurs ne sont pas aveugles. Hier, c’est malheureusement la chasse à la glu qui a été sacrifiée, aujourd’hui ils veulent la chasse aux pantes et à la matole, mais demain? La chasse de la palombe? Le gabion?

Comme l’affirme le Président de la Fédération des chasseurs des Landes lors de son passage devant les caméras de France 3 Nouvelle-Aquitaine, « On ne peut pas aujourd’hui perdre un pan de notre culture sans réaction. »

Près de 50 000 truites s’échappent en Côte-d’Or suite à une crue éclair

C’est une catastrophe pour la pisciculture de la Fédération de pêche mais une aubaine pour certains pêcheurs peu respectueux des règles…

En Côte-d’Or, une crue rapide a fait monter les eaux à proximité de la pisciculture de la Fédération de pêche ce qui a permis à près de 50 000 truites de s’évader et de filer dans les eaux sauvages du département.

Les agents de la Fédération de pêche sont forcément dépités par cette situation et la perte de la majorité des individus qui peuplaient la pisciculture.

Mais comme souvent, le malheur des uns fait le bonheur des autres et l’évasion de 50 000 truites n’a pas manqué d’attiser les convoitises.

De nombreux pêcheurs se sont rués sur les berges des cours d’eau environnants pour essayer de pêcher quelques unes de ces truites en cavale.

A lire aussi : Les animalistes s’attaquent aux pêcheurs et aux lâchers de truites

Si certains se cantonnent à atteindre les quotas, limités à 6 truites par jour et par pêcheurs, d’autres semblent ne pas avoir du tout suivi les règles et ont franchement abusé de la situation.

Les caméras de TF1 ont suivi l’affaire et les contrôles importants menés par les agents de la Fédération de pêche qui ont eu vent de ces abus.

La Poste se positionne en faveur de la protection du renard à travers une édition de timbres collector

Tandis que les ruraux font le nécessaire sur le terrain pour gérer au mieux l’environnement dans lequel ils vivent, certaines entreprises balayent tout d’un revers de la main dans le seul et unique but de servir leurs objectifs financiers. La Poste semble faire partie de celles-ci car un collector de timbres à l’effigie du renard et faisant la promotion de la protection totale de l’espèce sera vendue dès le mois de juin.

La philatélie instrumentalisée.

Dernièrement, La Poste a fait la promotion d’un nouveau collector de 4 timbres dédiés au renard. Si l’utilisation du goupil pour illustrer les timbres qui seront surement très attendus par les collectionneurs n’est pas nouveau, c’est plutôt le message que ce dernier véhicule qui a fait bondir quelques ruraux.

Les illustrations sont très réussies et les chasseurs comme les piégeurs n’auraient assurément pas manqué d’utiliser ces timbres pour leurs prochaines correspondances si ce collector n’avait pas été instrumentalisé par l’idéologie animaliste.

En effet, le collector s’accompagne d’un petit texte, rédigé par Michel Chardin, un photographe animalier dont le talent n’est plus à démontrer mais qui a une vision du renard certainement un peu trop idyllique :

« Longtemps considéré comme un animal nuisible, le renard (Vulpes vulpes), aujourd’hui classé dans la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD), paie très cher une réputation injustifiée. Toujours proche de nous à la ville comme à la campagne, il est opportuniste et joue un rôle majeur dans la biodiversité.

Parfois charognard, il élimine les petits animaux malades et évite beaucoup d’épidémies. Fort utile à l’agriculture, il consomme plus de six mille micromammifères (carnivores, rongeurs, insectivores, etc.) par an et concurrence ainsi très largement et naturellement les épandages de produits chimiques tels que la bromadiolone.

Vous l’aurez compris, le renard est notre allié et nous nous devons de le protéger.« 

Un avis plus que controversé.

Ce plaidoyer en faveur du renard ne va certainement pas rassembler les foules mais va beaucoup plaire aux animalistes de tous poils. Certes, le renard consomme de petits animaux mais pas uniquement. Il cause de nombreux dégâts dans les élevages et dans les basses-cours, sans compter sur le fait qu’il véhicule plusieurs maladies transmissibles à l’homme comme l’échinococcose alvéolaire.

De plus, le renard prolifère actuellement dans de nombreux départements Français. Protéger l’espèce aujourd’hui n’aurait donc pour effet que de déstabiliser l’équilibre si fragile qui existe actuellement dans nos territoires.

Le renard est sur la liste des espèces classées ESOD et ce n’est pas pour rien, mais dans le but de vendre un maximum de timbres dans cette édition collector, La Poste a manifestement décidé de laisser passer ce discours en faveur d’une protection totale de l’espèce.

A quand une série de timbres collector à l’effigie des chevaux pour interdire l’équitation ou à l’effigie de la truite pour interdire la pêche?

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